NTIC :
OWNI a rencontré Luc Saccavini, chercheur à l'Inria, et principal animateur du
nouvel observatoire d'Internet. Avec ce spécialiste de la "métrologie des
réseaux", l'institut de recherche met en place un véritable observatoire
du web, qui devrait déterminer les performances et points de blocage
d'Internet. Loin des affirmations des fournisseurs d'accès.
SCIENCES ET SOCIÉTÉ :
LEMONDE.FR | 19.01.12
Apple a
présenté, jeudi 19 janvier à New York, des initiatives destinées à
développer l'utilisation des ouvrages scolaires sur sa tablette mobile,
l'iPad. Le groupe américain a d'abord annoncé un partenariat avec plusieurs
maisons d'édition spécialisées, comme Pearson, McGraw Hill et Houghton Mifflin Harcourt.
Avec la nouvelle mouture de son magasin d'ouvrages iBooks, les utilisateurs auront
aussi accès à des livres électroniques "augmentés", intégrant des
contenus multimédias.
Apple a aussi lancé iBooks Author, un
programme permettant de créer des livres électroniques scolaires. Avec cette
initiative, Apple entend faire un pas dans un marché global des manuels
scolaires estimé par Bloomberg à environ 10 milliards de dollars (7,76
milliards d'euros) par an.
le 20 janvier 2012 PC
INpact
MegaJustice et
MegaPolice en action
La nouvelle ébranle des
millions d’internautes du monde entier. Après le blackout
anti SOPA et PIPA réalisé par
de nombreux sites internet hier, et notamment Wikipédia,
la justice
américaine vient de frapper
un grand coup en mettant à terre les sites du groupe Mega. MegaUpload et
MegaVideo sont aujourd’hui indisponibles dans le monde entier. Vont-ils
ressusciter dans quelques jours sur des serveurs à l’étranger ? Pas forcément.
Sur le même sujet
:
La justice américaine ferme Megaupload ! 19 janvier 2012
Presse citron
CNRS :
Communiqués de presse
Paris, 19 JANVIER 2012
Une étude menée par Eric Vivier et Sophie Ugolini du Centre d'Immunologie de
Marseille-Luminy (Inserm/CNRS/Université Aix Marseille) vient de mettre en
évidence chez la souris un gène qui, muté, permet de stimuler les défenses
immunitaires pour mieux lutter contre les tumeurs et les infections virales.
Alors que ce gène était connu pour activer une des premières lignes de défense
de l'organisme (les cellules Natural Killer ou NK), son inactivation rend
paradoxalement ces cellules NK hypersensibles aux signaux d'alerte envoyés par
les cellules malades. Ces nouvelles données, essentielles pour comprendre le
fonctionnement de ces cellules-clés de l'immunité, pourraient ouvrir une
nouvelle voie thérapeutique contre les infections. Elles suggèrent aussi que la
fonction des cellules NK doit être finement régulée pour garantir une réaction
immunitaire optimale. Le détail de ces travaux est publié dans la revue Science
datée du 20 janvier 2012.
Paris, 20 janvier 2012
En collaboration avec des chercheurs de
l'Institut Weizmann en Israël, une équipe de l'Institut de génétique humaine
(CNRS) vient de révéler pour la première fois l'architecture tridimensionnelle
fine des chromosomes(1) : Giacomo Cavalli et ses collègues ont réussi à
cartographier à haute résolution(2)les différents contacts existant à
l'intérieur et entre les chromosomes. Un défi relevé grâce à une nouvelle
approche d'analyse génétique à très haut débit améliorée par l'équipe
montpelliéraine. Ces travaux de recherche majeurs devraient permettre de mieux
comprendre l'impact de l'organisation tridimensionnelle des chromosomes sur
l'expression du génome(3) et sur la survenue de maladie comme les cancers. Ils
sont publiés dans la version en ligne de la revue Cell du 19 Janvier 2012.
IST :
Mer 18 Jan 2012 INIST-CNRS
L’activité
de la filiale INIST DIFFUSION SA a été intégralement reprise par le CNRS dans
le cadre d’une transmission universelle de patrimoine effective depuis le 03
janvier 2012.
Les commandes passées par les unités CNRS sur leurs crédits CNRS passeront donc
à compter de cette date par la procédure de facturation interne CNRS. Les
commandes passées par les unités CNRS sur d’autres crédits devront être
traitées selon la procédure standard.
19 janvier 2012 Michel Vajou La dépêche du GFII
L’information : le Guardian, le grand quotidien britannique d’information générale de centre gauche a introduit depuis le 13 janvier un abonnement mensuel payant pour la consultation de son édition sur iPad. Alors que le scénario économique pour la presse de qualité reste plus que morose, les stratégies de fixation de prix de deux autres titres phares de la presse anglophone, le New York Times et le Financial Times, montrent que ces éditeurs utilisent différents leviers pour accélérer la conversion de leurs bases d’abonnés au numérique.
L’analyse de la Dépêche : Le scénario économique qui s’impose à tous les éditeurs de grands quotidiens d’audience nationale en 2012 n’a rien de réjouissant. En raison de la crise, les recettes publicitaires risquent de se tasser fortement ; l’abondance de sites d’information gratuits continuera à exercer une pression à la baisse sur le prix de vente au numéro ; le lectorat de ces journaux de qualité continuera à s’éroder de quelques % l’an. Ces constats sont valables pour tous les grands titres d’information générale dans les économies développées, et pas seulement pour la presse anglophone. Pour autant les éditeurs de presse sont-ils coincés dans un étau mortel à terme ? Répondre à cette question revient à déterminer si la croissance des recettes (ou plus exactement des profits) tirées des versions numériques compense ou non l’érosion du chiffre d’affaires des versions imprimées. Certes et dans la plupart des cas les tarifs d’accès aux versions numériques sont nettement plus faibles que l’accès aux quotidiens imprimés. Mais l’économie de la presse numérique permet, en s’exonérant des coûts industriels de fabrication et de distribution, de placer la barre de la rentabilité beaucoup plus bas que pour les versions papier. La difficulté pour les éditeurs de presse est que pour l’instant ils doivent maintenir deux versions, l’une numérique, l’autre imprimée. Leurs résultats économiques et leur existence à terme dépend de leur capacité à articuler les deux modèles et à piloter activement la conversion de leur lectorat au tout numérique. Dans ce contexte, un choix stratégique essentiel repose sur les modalités du « paywall » appliquées à la version numérique, c'est-à-dire des modalités de tarification des e-lecteurs. Tous les grands titres de presse, après quelques hésitations initiales où la gratuité de tout ou partie des contenus numériques était la règle, pèsent aujourd’hui au trébuchet les paramètres de leur « Paywall » et suivent avec attention les stratégies économiques de leurs concurrents pour leur offre numérique.
Dans le contexte de la presse anglophone, deux grands titres, le New York Times
et le Financial Times illustrent deux façons très différentes d’affronter le
même problème stratégique. On soulignera que l’un comme l’autre de ces titres
ont longtemps hésité sur la marche à suivre. Ce n’est que depuis un plus d’un
an, après plusieurs reports, que le New-York Times a introduit un abonnement
payant d’accès à sa version numérique. Le Financial Times, qui dispose de la
plus longue expérience en la matière (plus d’une dizaine d’années) a longtemps
balancé entre gratuité et accès payant. Le site FT.com a d’abord été gratuit
(alors qu’en France Lesechos.fr, qui appartenait à l’époque au même groupe,
Pearson, a été d’emblée payant) avant d’introduire un Paywall incontournable
qui s’est révélé trop drastique. Le FT a donc encore une fois changé son fusil
d’épaule il y a 5 ans en optant pour une stratégie de « freemium » mêlant
contenus gratuits et contenus payants pour les usagers du site FT.com. Mais la
base de contenus gratuits sur le FT.com s’est réduite comme peau de chagrin. En
2007 et sous réserve d’une inscription obligatoire permettant à l’éditeur de
presse d’identifier précisément ses e-lecteurs, ceux-ci pouvaientt accéder
gratuitement à 30 articles par mois. Aujourd’hui ce maximum est de 4 articles par
mois. Le FT suit désormais une stratégie claire : convertir à marche forcée les
4 millions d’utilisateurs inscrits sur le site FT.com à l’abonnement payant.
Le Financial Times et le New York Times partagent en effet une même stratégie :
convertir au numérique le plus rapidement possible leur base d’abonnés. Pour
cela, les deux titres ont joué sur un même levier : le différentiel entre le
prix au numéro pour leur édition imprimée et le prix de l’accès sur écran aux
mêmes contenus. Pour maximiser ce différentiel, les deux titres n’ont pas
hésité à augmenter de façon importante le prix au numéro de leur version
imprimée : celui-ci a grimpé en quelques mois beaucoup plus rapidement que
l’inflation. Le NYT est passé d’un prix au numéro en kiosque de 2$ à 2,5$ (soit
+ 25%), seul le prix des éditions dominicales restant inchangé à 5$. Le prix en
kiosque du Financial Times est passé récemment de 2,20 £ à 2,50 £ soit +14%. En
conséquence, et pour un fan du NYT, lire son journal préféré sur écran est dans
le cadre de l’abonnement en ligne le moins cher (15$ par mois) de 40 à 50%
moins cher que l’abonnement à la version imprimée, et même de 70% si celle-ci
est achetée en kiosque. Pour le FT, l’abonnement standard à la version
numérique est 21% moins cher que la version imprimée sur abonnement et 68%
moins chère que si ce même journal est acheté en kiosque. Aujourd’hui le FT.com
compterait 250 000 abonnés, à comparer aux 4 millions de lecteurs inscrits pour
le site à titre gratuit. Le New-York Times, dont la stratégie en matière de
modèle économique a longtemps été illisible, a cependant conquis en un an 340
000 abonnés (sur une base d’utilisateurs identifiés de la version gratuite
d’environ un million d’internautes).
Au-delà de l’articulation économique entre version imprimée et version
numérique, un autre levier stratégique est la marge accordée aux
e-distributeurs, en en particulier à Apple pour un accès au quotidien sur iPad.
On sait qu’Apple, outre qu’il ne fournit pas aux éditeurs de presse les
coordonnées de leurs e-lecteurs, conserve 30% du prix de l’abonnement et ne
reverse à l’éditeur que 70% de la recette. On distingue ici deux approches
diamétralement opposées : le NYT où le Guardian non seulement ne sont
consultables que sur iPad, mais leurs éditeurs ne semble pas trouver mauvais
qu’Apple prélève sa manne. A l’inverse le Financial Times a d’emblée refusé les
conditions drastiques d’Apple et s’en est donné les moyens. Il s’est appuyé sur
la Web-App développée par Assanka pour être accessible sur toutes les tablettes
(dont l’iPad) sans passer sous les fourches caudines d’Apple. La technologie
Assanka a même semblée suffisamment stratégique pour que le FT décide il y a
quelques semaines de racheter ce prestataire pour continuer à développer une
offre ATAWAD (Any Time, any where, any device) basée sur ses propres
technologies propriétaires.
Dans le développement de ses recettes numériques, le NYT mise sur la qualité et
l’unicité de ses contenus pour sécuriser son modèle économique. Le titre
new-yorkais dispose d’une audience fidèle de 2,4 millions de lecteurs. Le site
paidcontent.org a calculé que si 5% de ce lectorat se convertissait au
numérique payant et générait une recette annuelle de 150 $ par an (en ajoutant
au prix de l’abonnement les recettes publicitaires rapportées au nombre
d’abonnés), le NYT dégagerait une recette annuelle de 360 millions de dollars,
alors que ses coût rédactionnels (pour un pool de journalistes et de
contributeurs sans équivalent au plan mondial) s’élèvent annuellement à 200 M$.
Mais n’est pas le new York Times qui veut.
Dans le contexte français les stratégies des éditeurs de presse sont encore
hésitantes et différenciées : le Monde donne encore un accès gratuit à
l’ensemble de ses contenus sur son site Internet alors que l’accès au plein
texte des articles sur le site liberation.fr est systématiquement payant. Même
différence d’approche entre les echos.fr qui pratique un « freemium » a
géométrie variable et La Tribune (qui s’il surmonte ses difficultés économiques
actuelles, pourrait devenir entièrement numérique). Pourtant les éditeurs de
presse français sont au moins d’accord sur un point : leur refus de se plier
aux exigences d’Apple pour une diffusion sur iPad. Le Geste, l’association qui
fédère de nombreux sites de presse numérique française a récemment publié un
communiqué de presse collectif dénonçant les conditions imposées par Apple.
19 janvier 2012 Info GFII
Springer is bringing Open Choice, its hybrid
open access option, into line with the fully open access journals published by
BioMed Central and SpringerOpen. As a result, all open access content at
Springer will be published under the Creative Commons Attribution (CC-BY)
license.
In 2004, the hybrid open access option Open
Choice was launched at Springer with the Creative Commons Attribution
Non-Commercial license. Springer’s Open Choice option allows authors to publish
their articles with open access for the majority of Springer's
subscription-based journals. The articles are immediately freely available for
anyone worldwide in exchange of paying an article processing charge. The
copyright remains with the author.
Bettina Goerner, Manager Open Access at
Springer, says: “The positive experience with publishing fully open access
journals under the CC-BY license at BioMed Central and SpringerOpen, led us to
believe that permitting commercial use has benefits for our authors, editors,
society partners and open access in general. We are pleased that our Open
Choice option to publish open access meets the growing demand for liberal
re-use rights.”
Ven 20 Jan 2012 Laurence Bianchini MyScienceWork
Dans l’ombre des cris de protestations se
dressant contre les lois SOPA et PIPA, aux Etats-Unis, une seconde guerre s’est
déclarée opposant cette fois les éditeurs scientifiques aux défenseurs de
l’open access et du partage des connaissances. Le « Research Works Act », une
proposition de loi visant à restreindre la diffusion des articles
scientifiques, a été soumise en décembre 2011 au parlement américain.
MyScienceWork joint sa voix à toutes celles qui s’élèvent pour s’opposer à
cette loi.
20 janvier 2012 Michel Vajou Info GFII
Le 1er janvier 2012, l’Institut géographique national et l’Inventaire forestier
national ont fusionné dans un établissement public national à caractère
administratif, l’Institut national de l’information géographique et forestière
(IGN).
L’objectif de la fusion des deux établissements est de tirer profit du
regroupement des compétences de l’IGN et de l’IFN pour accroître la capacité de
description du territoire national et de l’occupation de son sol ainsi que
celle d’inventaire des ressources forestières, au bénéfice des politiques
publiques et des activités d’aménagement du territoire ou de développement
durable.
Article modifié le 19/01/2012
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Société (PDF – 172.7 ko)
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du personnel (PDF – 111.8 ko)
Thérapeutique
médicamenteuse (PDF – 135.2
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les thèmes (PDF – 1.4 Mo)
VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE :
La Direccte (Direction régionale des
entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi)
de BASSE-NORMANDIE publie un
ensemble de fiches ayant trait à l'intelligence économique. Organisées
autour de la veille à partir de sources ouvertes, l'utilisation des réseaux
pour influencer les acteurs économiques et politiques et la protection du
patrimoine cette
série de documents d'information est disponible
[Date: 2012-01-19] Cordis
L'Union européenne dispose des meilleures
installations de recherche et des meilleurs chercheurs au monde. L'exploitation
de leur potentiel contribuera à transformer des idées innovantes en emplois, et
à générer une croissance écologique et des progrès sociaux. Pour faciliter
cela, la Commission européenne finance, partiellement ou totalement, une grande
variété de projets de développement technologique et de recherche. Les
informations détaillées de nombre d'entre eux sont disponibles sur CORDIS, le
service communautaire d'informations sur la recherche et le développement,
considéré comme la principale source d'informations sur les projets financés
par l'UE.
COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :
Mardi 31 janvier 2012 | Brest (29200)
Recherches sur la société du numérique et ses
usages
Dizième séminiaire du GIS M@rsouin
Publié le jeudi 19 janvier 2012 par Loïc Le Pape
RÉSUMÉ : Le GIS Marsouin, fédération des équipes
bretonnes de sciences humaines et sociales travaillant sur les usages du
numérique organise son traditionnel séminaire les 24 et 25 mai 2012 à
Océanopolis (Brest, Finistère).
19 janvier 2012 Invest In Côte d'Azur
La conférence évoque les effets du développement
des TIC dans le travail à travers deux exemples, l'un issu d'une recherche sur
l'exercice du commandement en gendarmerie, et l'autre d'une intervention
relative à la conception d'une application sur iPad.
À partir de ces deux illustrations, des
premières conclusions sont esquissées quant aux éléments à intégrer dans les
démarches de conception des outils numériques à la fois sur les plans théorique
et méthodologique, ainsi que pour l'intégration des NTIC dans les situations de
travail futures, notamment en matière de conduite et d'accompagnement du
changement.
Manifestations
Colloques, séminaires, journées d’étude ISCC-CNRS
Page publiée le 18 janvier 2012
Séminaire PHITECO 2012 Amitié et technologies
relationnelles, 23-27 janvier 2012, Université de Technologie de Compiègne
Table ronde Mathématiques,
sciences et humanités, 24 Janvier 2012, Institut méditerranéen de
recherches avancées (IMéRA), Marseille
Séminaire du réseau de recherche DEL Qui milite sur le Net ?
Esquisse d’un profil sociologique du ’cyber-militant’ au PS et à l’UMP, 26
janvier 2012, Paris 3e
Les politiques des sciences. Séminaire
alternatif, Questions aux acteurs du mouvement –
Après l’AERES, quoi ?, 26 janvier 2012, EHESS, Paris
Rencontre Option
Libre : du bon usage des licences libres... par Benjamin Jean, avec des acteurs de
la création et l’innovation, 30 janvier 2012, Paris
Colloque Mathématiques
pour tous ?, 30-31 janvier 2012, Unesco, Paris
Journée Qu’est-ce qu’un architecte de l’information ?,
INTD-CNAM (Dicen) / Paris 8 (Index-Paragraphe), 31 janvier 2012, Cnam
LIRE :
Jeu 19 Jan 2012 revues.org
Parution du n° 83 (2011), Le Genre globalisé.
Ce numéro de Cultures & Conflits interroge
le processus de globalisation du genre, compris comme un changement d’échelle
des enjeux politiques relatifs aux rapports sociaux de sexe. Les politiques de
genre relèvent en effet aujourd’hui d’une programmatique portée par des
institutions internationales aux prétentions universelles et intégratives
d’enjeux sociaux pourtant configurés par des trajectoires nationales et locales
contrastées. En explorant la singularité d’expériences collectives de femmes au
Nicaragua, en Inde, en Israël/Palestine et en Mongolie, les auteures de ce
dossier montrent que la seule analyse d’une uniformisation transnationale des
politiques de genre et de l’automaticité de leur réception par les
mobilisations et les gouvernements n’est pas suffisante. Elles donnent plutôt à
voir les formes de résistance et de production localisées de répertoires
d’action sur les questions de genre, ainsi que les effets d’adaptation et de
réappropriation composites des prescriptions internationales. En choisissant de
saisir in situ les formes d’interactions entre mouvements de femmes, États et
organisations internationales, les contributions de ce dossier permettent
d’enrichir la compréhension localisée, et non moins comparative, de la circulation
internationale et transnationale du genre.
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