NTIC :
17 janvier 2012 WebActus
C'est lors de la conférence de presse de la
société Ericsson lors du CES 2012 que le PDG de l'entreprise, Hans Vestberg, a
fait la démonstration d'une nouvelle technologie très impressionnante: utiliser
le corps humain pour transmettre des données. ...
SCIENCES ET SOCIÉTÉ :
Un vrai appel d'offres, d'emplois
16 janvier 2012 PC INpact
En novembre, le SNE (Syndicat national de l'édition) indiquait qu’après
audition de Trident Media Guard (TMG), Attributor ou encore Hologram Industries
(ex-Advestigo), il préférait délaisser
la réponse graduée. « Nous avons mis le dossier “Hadopi” de côté car la
question du piratage de livres numériques en France ne se pose pas vraiment
encore. Le marché du livre numérique online, c’est-à-dire hors ouvrages sur
CD-Rom, ne représente encore pas grand-chose – environ 1 % – sur le marché
français » assurait Christine de Mazières, déléguée générale du SNE, dans les
colonnes d'Edition Multimédi@.
LEMONDE.FR | 16.01.12 mis à jour 17.01.12
Une semaine après le lancement en fanfare de son offre mobile,
l'opérateur Free connaitrait quelques problèmes de fonctionnement, selon
Le Figaro. Certains opérateurs concurrents
affirment en effet que le réseau du nouveau venu sur le marché du mobile ne
fonctionne pas, et qu'il ne serait "pas allumé" selon le site
Internet du quotidien. Selon la même source, les concurrents de Free "ont
même envoyé des huissiers dans les rues pour le vérifier."
Mar 17 Jan 2012 Rémi Sussan Internet Actu
Comment faire confiance en une source
d’information, s’est interrogé l’informaticien Alain
Mille ? La confiance consiste
à pouvoir agir en fonction d’une information sans avoir préalablement à la
vérifier. Ce qui signifie que, finalement, la question de la confiance revient
à celle de la vérité. On peut avoir confiance en ce qui est “vrai”. En ce sens,
établir une vérité peut être l’équivalent d’une démonstration ou d’un théorème
validé par une machine de Turing.
Ensuite, la question devient “comment dire le vrai
à partir du vrai”. Une fois qu’on a considéré une assertion comme vraie de
manière axiomatique, peut-on ensuite établir un système de règles permettant
d’établir de manière formelle d’autres vérités qui en découlent ?
Comprendre cela est de l’ordre de la logique qui
existe en de multiples systèmes et variations.
Comment avoir confiance dans l’information ?
Pour analyser un ensemble d’informations, il
faut disposer d’un modèle. En intelligence artificielle (IA) un modèle
d’interprétation doit être choisi arbitrairement, mais explicitement. Les
premiers travaux dans le domaine de la démonstration automatique étaient
inspirés de la démarche scientifique. Ils partaient donc de l’hypothèse d’un
monde existant, avec une sémantique à découvrir.
16 janvier 2012 par Cedric
Baillet Blogs Orange Business
Les entreprises respectueuses des droits «
informatiques et libertés » peuvent désormais demander un label CNIL pour
prouver la qualité de leurs procédures. Cette démarche avait été théorisée en
2009, mais ce n’est qu’avec la modification du règlement intérieur et l’article
IVbis, à l’automne 2011, que c’est devenu une réalité.
[Date: 2012-01-13] Cordis
Une équipe de chercheurs financée par l'UE a
développé un robot capable d'assister des neurochirurgiens pour des
micromanipulations chirurgicales dans le cerveau. Ce robot est précis, a une
mémoire inouïe et est doté d'une capacité à réaliser 13 types de mouvements
(par rapport aux 4 types de la main humaine); il offre un retour d'informations
«haptiques», des informations physiques permettant aux médecins d'évaluer le
tissu et de percevoir la force à appliquer durant l'opération. Le projet
ROBOCAST («Robot and sensors integration as guidance for enhanced computer
assisted surgery and therapy») a reçu 3,45 millions d'euros au titre du thème
«Technologies de l'information et de la communication» (TIC) du septième
programme-cadre (7e PC).
Menés par l'université technique Politecnico di
Milano en Italie, les partenaires de ROBOCAST ont ciblé le développement de
méthodes et techniques scientifiques de TIC pour les micromanipulations
chirurgicales cérébrales. Ils ont développé un matériel appelé mécatronique,
qui construit le corps et le système nerveux du robot, ainsi qu'un logiciel
responsable de l'intelligence du robot. Ce logiciel comprend un robot multiple,
un planificateur de trajectoires indépendant, des commandes avancés et un ensemble
de capteurs de profondeur de champ.
CNRS :
En direct des labos
Une étude réalisée sur le singe et publiée dans
BMC Evolutionary Biology vient de montrer que le répertoire vocal, bien que
génétiquement déterminé chez une espèce, s’affine progressivement avec
l’expérience de l’individu au sein d’un groupe social. Ce résultat, déjà admis
pour l’oiseau depuis plusieurs décennies, conforte ici l’idée selon laquelle
l’Homme aurait hérité de ses ancêtres primates la capacité à imiter la voix de
ses proches.
L’amphioxus possède un
plan d'organisation similaire à celui des vertébrés, mais il en est
relativement éloigné dans l'arbre évolutif. Des chercheurs du laboratoire
Biologie intégrative des organismes marins (BIOM, CNRS/Université Pierre et
Marie Curie) ont récemment conclu dans PNAS, que le petit animal partage aussi
avec les vertébrés son mode de régénération. Il devient alors un modèle
précieux dans la compréhension des mécanismes ancestraux de la régénération.
La formation des cils, retrouvés à la surface
des cellules, est régulée par la huntingtine. Lorsque cette protéine est
absente ou anormale, comme c’est le cas chez les patients atteints de la
maladie de Huntington, le mécanisme de la ciliogénèse est grandement perturbé.
C’est ce que vient de prouver une équipe du laboratoire Signalisation, neurobiologie
et cancer (SNC, CNRS/Institut Curie/Inserm). Cette étude, réalisée en
association avec d’autres chercheurs, a été publiée dans la revue Journal of
clinical investigation.
Grâce à des analyses de protéo-métabolomique,
des scientifiques du laboratoire de Génétique moléculaire, génomique et
microbiologie (GMGM, CNRS/Université de Strasbourg), de l’Institut pluridisciplinaire
Hubert Curien (IPHC, CNRS/Université de Strasbourg) et de l’institut de
biologie des plantes (IBP, CNRS/Université Paris-Sud) ont pu démontrer que le
bioindicateur des drainages miniers acides, Euglena mutabilis, secrète dans
l’environnement de nombreux métabolites riches en carbone et en azote. Ces
travaux ont été publiés dans The ISME Journal.
Communiqués de presse
Paris, 17 janvier 2012
Après 30 mois de fonctionnement exemplaire,
l'instrument haute fréquence du satellite Planck de l'Agence Spatiale
Européenne est éteint. Pendant près de 1000 jours, ses détecteurs ont été les
objets les plus froids de l'Univers extraterrestre, avec une durée de vie
finale deux fois plus longue que prévue. La mission Planck voit une très forte
participation de laboratoires français rattachés au CNRS et au CEA, soutenus
par le CNES.
Paris, 17 janvier 2012
Pour la première fois, une équipe de l'Institut
de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC, Université de Strasbourg/CNRS/Inserm)
a réussi à photographier en entier, en 3D et à haute résolution (1), une petite
molécule vitale, enfermée au cœur de nos cellules : le récepteur de la vitamine
D (VDR). Publiée le 18 janvier 2012 dans la revue The EMBO Journal, cette étude
apporte des informations clefs sur la structure 3D et le mécanisme d'action du
récepteur au niveau moléculaire. Ces données sont cruciales pour la recherche
pharmaceutique, le VDR étant impliqué dans de nombreuses maladies, comme les
cancers, le rachitisme et le diabète de type 1.
IST :
by URFIST de Rennes on Apr 14, 2011
12,213views
Support du stage de l’URFIST de Rennes "Connaître les moteurs de recherche
scientifique", du 29 mars 2011, mis à jour le 4 octobre 2011.
17 janvier 2012 Michel Vajou La dépêche du GFII
L’information : Springer, N°2 mondial de l’édition scientifique vient
d’annoncer le lancement du service SpringerPlus une « revue scientifique » en
ligne, multidisciplinaire, en open access. Si les contenus de SpringerPlus
seront bien « peer reviewed », cette validation par les pairs se limitera à
l’examen de la solidité scientifique des travaux et de l’intérêt des résultats
rapportés dans l’article. Il n’y aura pas de révision du projet d’article au
cours du process de peer reviewing. Le laps de temps entre la soumission d’un
article et sa publication sera réduit au minimum. SpringerPlus, au-delà des
articles scientifiques proprement dits, acceptera la publication de séquences
audiovisuelles, de jeux de données (data sets) commentées, soit comme des
objets autonomes, soit comme complément d’un article scientifique. Il n’y aura
pas de limitation de la longueur des articles ni du nombre d’illustrations. De
plus SpringerPlus publiera des articles rendant compte de recherches «
négatives » (démontrant qu’il n’y a pas de corrélation entre deux phénomènes).
Springer n’est pas le premier ou le seul éditeur à lancer un « megajournal »
(ce que l’on traduira par « mégarevue ») : Bloomsbury Qatar Foundation Journals
(BQFJ) (1) a lancé en décembre dernier QScience Connect dont les
caractéristiques sont très similaires à celles de SpringerPlus : absolue
multidisciplinarité ; peer reviewing ne se fixant pas d’objectifs a priori de
taux de sélection et vérifiant simplement des critères de qualité. Cette
émergence de « megajournals » s’explique par la forte croissance du nombre de
publications scientifiques au plan mondial, qui ne peuvent plus être
accueillies dans les revues sur abonnement. Cette évolution de la publication
scientifique « peer reviewed », qui mise d’emblée sur un modèle économique
d’open access, marque une véritable rupture par rapport aux critères classiques
de la publication scientifique.
L’analyse de la Dépêche : lors d’une passionnante présentation
aux investisseurs (2) le 6 décembre dernier, Elsevier (filiale du groupe Reed
Elsevier et N°1 mondial de l’édition scientifique), fournissait des
statistiques utiles sur l’évolution des volumes de publications scientifiques.
Selon Elsevier, il se publiait mondialement en 1996 environ 1 million
d’articles scientifiques, 1,9 millions en 2010 ; les projections à 2015 se situent
à 2,9 millions d’articles. A cette échéance la part relative cumulée de
l’output mondial de la publication scientifique de quatre pays émergents
(Chine, Inde, Brésil, Corée-du-Sud) sera de 35% (contre environ 20%
aujourd’hui). Le taux de croissance du nombre d’articles publiés sur le période
2010-2015 est estimé à 20%/an pour la Chine, 11% pour l’Inde, 13% pour le
Brésil, 12% pour la Corée-du-Sud contre 4% l’an pour les pays d’Europe
occidentale et les Etats-Unis. Plus intéressant encore, entre 2006 et 2011, le
nombre d’articles soumis annuellement aux comités éditoriaux des revues
Elsevier (3) est passé de 430 à 700 000, soit une croissance annuelle moyenne
de 10,3%. Alors que le nombre d’articles publiés passait dans le même temps de
200 à 240 000, soit une augmentation annuelle moyenne de « seulement » 3,5%.
Elsevier rejette 2 articles sur 3 qui lui sont soumis.
Remédier au « malthusianisme » de la publication
sur abonnement
Ces chiffres illustrent le phénomène de « lost
science » c'est-à-dire le fait que nombre de recherches scientifiques ne
trouvent pas de débouché éditorial dans le système actuel de publication de
revues scientifiques sur abonnement. Ce phénomène, qui a toujours existé, a
cependant tendance à s’accroître en raison de l’écart grandissant entre nombre
d’articles soumis aux éditeurs et nombre d’articles publiés. Les coûts d’une
revue suivant le modèle économique de « toll access » sont entre autres
corrélés au nombre d’articles scientifiques qu’elle publie (plus exactement au
nombre de pages publiées annuellement). Les tarifs d’abonnement aux revues
scientifiques, qui augmentent déjà de 4% l’an depuis au moins une décennie (ce
qui a été est l’un des moteurs initiaux de l’émergence d’un débat sur l’open
access) ne peuvent progresser plus. D’où une sélectivité croissante, qui a
elle-même ses coûts : le ratio entre nombre d’articles soumis (et examinés dans
le cadre du peer-reviewing) et nombre d’articles publiés est lui-même un
élément de la structure de coûts. Pour les éditeurs, la captation de cette
masse croissante d’articles scientifiques qui ne trouvent pas leur place dans
les revues existantes est un enjeu stratégique. Il est structurellement
difficile d’accueillir dans l’espace rare des revues sur abonnement (qui misent
sur une valeur ajoutée de sélectivité) la production scientifique des pays
émergents sans diminuer d’autant la visibilité des recherches émanant des
économies occidentales. Ce qui serait inacceptable puisque les chercheurs de
ces pays occidentaux constituent encore le gros des bases d’abonnés. Or cette
captation de la production scientifique des pays émergents est pour les
éditeurs la clé de réserves de croissances importantes. Les « mégarevues » tel
SpringerPlus ou QScience Connect sont créées pour sortir de cette impasse. D’où
leurs caractéristiques fondamentales. Elles obéissent au modèle économique
d’open access parce qu’il est plus facile de créer un lectorat dans le cadre de
ce modèle que dans celui du toll access (constituer une base d’abonnés est long
et coûteux). Surtout dans le modèle économique de l’open access le nombre
d’article publiés n’impacte pas la rentabilité puisque ce qui est facturé est
un « droit de publication » par article. En poussant le raisonnement à
l’extrême l’éditeur aurait intérêt à publier le plus grand nombre d’articles
soumis pour publication pour doper son chiffre d’affaires. Cette tentation sera
contenue par le fait que pour que la notoriété d’une mégarevue s’impose,
celle-ci devra répondre à des critères de qualité.
L’émergence d’un peer-reviewing « light »
C’est pourquoi sans renoncer au modèle du « peer
reviewing » (qui pourtant est difficile à mettre en place pour une revue
largement multidisciplinaire), on passe à un modèle moins sélectif de peer
reviewing « light ». Ce que les promoteurs de QScience Connect illustrent dans
leur communiqué : “En mettant moins l’accent sur l’intérêt perçu par le
reviewer, nous laissons à nos lecteurs le soin de déterminer, à partir des
volumes de consultation et le nombre d’articles citants, quels sont les
articles qui sont pour eux intéressants ». Enfin ces « megajournals» ont
vocation à être multidisciplinaires (tout en coexistant, comme c’est le cas
pour SpringerOpen ou pour QScience, avec des revues en libre accès plus
pointues) puisque justement leur objectif est de « ratisser large ». Pour
parodier une citation d’Andy Warhol indiquant que dans les sociétés de
communication modernes tout individu aura droit dans sa vie à 5 minutes de
célébrité médiatique, on peut dire que tout chercheur, dans ce nouveau modèle
éditorial, aura son heure, sinon de célébrité, du moins de visibilité. Ces
nouveaux services de sélection et de diffusion d’articles scientifiques que
sont les mégarevues sont-ils encore des « périodiques scientifiques » ? La
notion même de « périodique » n’est plus pertinente puisque QScience Connect ou
SpringerPlus seront alimentés en continu par les reviewers. N’ayant pas
d’équivalent imprimé, ces mégarevues s’apparentent plus à des « archives
ouvertes » labellisées par un éditeur de renom. L’ancrage disciplinaire qui est
souvent un élément essentiel de l’identité des revues disparaît. Il existe
certes de très grandes revues scientifiques multidisciplinaires : Nature,
Science qui sont les plus sélectives, et aussi les plus chères. Tout l’enjeu
pour Springer et les éditeurs qui suivront cette voie sera de développer pour
leur « mégarevue » une notoriété suffisante pour s’imposer dans le paysage déjà
chargé de la publication scientifique. C’est un pari qui est loin d’être gagné.
(1) Bloomsbury Qatar Foundation Journals a été
fondée en 1995 grâce à un financement de l’émir du Quatar. BQFJ qui a un statut
de fondation sans but lucratif reste financé par des fonds quatari et publie
déjà 8 revues scientifiques en Open Access (en sciences de l’information, en
bibliothéconomie, sur les énergies renouvelables, les sciences de l’éducation,
sciences biomédicales, etc.). BQFJ indique dans son communiqué que 2012 verra
le lancement de « nombreuses revues » librement accessibles sur la base des
dispositions des Creative Commons 3.0. Le tout est accessible sur la plateforme
QScience.com, dont l’originalité est de disposer d’une interface en anglais et
d’une autre en langue arabe. La nouvelle « revue » QScience Connect, qui n’aura
pas d’équivalent imprimé sera disponible sur QScience.com. Par ailleurs
QScience Connect sera un service multidisciplinaire.
(2) Accessible à la rubrique « Investors
relations » du site Elsevier.com.
(3) qui comptent 7000 « editors », 70 000
membres de comité scientifique de revues, et 500 000 « peer reviewers »
17 janvier 2012 Michel Vajou Info GFII
Thomson Reuters vient d’annoncer le rachat au
Canada de l’éditeur Dr Tax qui fournit des logiciels de calcul de l’impôt sur
le revenu des entreprises comme des particuliers. Fondé il y a 25 ans à
Montréal, Dr Tax est l’éditeur du logiciel DT Max, un outil utilisé par 3000
cabinets comptables. Mais Dr Tax, au travers des applications UFile et ImpôtExpert sert aussi le grand public.
Thomson Reuters connait bien le Canada, puisque Thomson Publishing était avant
sa fusion avec Reuters, une société anglo-canadienne cotée à la bourse de
Toronto. C’est pourtant la première fois que Thomson Reuters disposera d’une
offre pour les professions comptables canadiennes. Thomson Reuters, au travers
de sa division « Tax & Accounting », a une importante activité de bases
d’information et de logiciels spécialisés pour les professions fiscales et
comptables. Ce qui retient l’attention dans cette acquisition dont le montant
n’a pas été communiqué est le double positionnement B-to-B/B-to-C de Dr Tax. Le
potentiel de services en ligne spécialisés pour les particuliers pourrait-il à
nouveau intéresser un grand éditeur professionnel ? Il semble que ce soit
plutôt le souhait d’enter sur le marché canadien qui a motivé cette
acquisition.
16 janvier 2012 Info GFII
London, January 4, 2012 – The Lancet, the
world's leading independent general medical journal, today announced its first
app for iPad is now available on the App Store. The Lancet App is an innovative
article-based navigation app that makes it easier for healthcare professionals
(HCPs) to find the information they need quickly and efficiently from the
convenience of their iPad.
“In this new mobile and tablet age, you have to
think about how a doctor seeks and uses the information they need,” explains
Scott Virkler, SVP e-Products Global Medical Research, Elsevier Health
Sciences. “iPad gave us the opportunity to rewrite the rules according to the
needs of our readers and provide them a convenient solution. With this
article-based navigation app, we’ve created an entirely new model that responds
to our readers’ need to get to the articles they want, when they want."
The app gives subscribers convenient access to
the latest articles published in The Lancet, The Lancet Oncology, The Lancet
Neurology and The Lancet Infectious Diseases. Articles are sent to users and
categorized by topic for an easy, at-a-glance overview. Users can annotate
articles, share them with colleagues and create alerts and bookmark favorites.
They can also search the journal database from the app and download articles
for immediate or future use, either on or offline.
The Lancet App is one of many apps Elsevier is
developing for healthcare professionals. “We have an extensive, robust mobile
app development program,” added Virkler. “Healthcare professionals are on the
leading edge of this exciting new publishing medium."
The Lancet App is available for free from the
App Store on iPad or at www.itunes.com/appstore. Selected content is available
for all viewers. Subscribers to The Lancent have access to all published
content.
16 janvier 2012 Par Frédéric Clavert Zotero
francophone
Comme décrit dans le retour d’expérience
fraîchement publié dans la revue électronique suisse en science de
l’information (http://www.ressi.ch/num12/article_079),
Laure Mellifluo, Michel Hardegger et Raphaël Grolimund ont travaillé à créer un
style fondé sur la norme ISO 690. Un style existait déjà mais était très
incomplet.
Le style est disponible en français et en
anglais et aux formats auteur-date et numérique.
Notons que ce style permet de créer une
bibliographie commentée, chose rare parmi les nombreux styles proposés pour
Zotero.
lundi 16 janvier 2012 INIST-CNRS
Comme l’an passé, il est nécessaire de
réinscrire l’ensemble des ayants droit aux portails CNRS d’information pour
respecter les clauses contractuelles qui nous lient aux éditeurs en modifiant
les codes d’accès aux ressources.
Les anciens codes d’accès à BiblioSHS seront
définitivement coupés le 06/02/2012.
Aussi, afin de permettre la continuité d’accès
pour votre unité en 2012 et obtenir un nouveau code d’accès, il est nécessaire
d’enregistrer à nouveau votre unité via le formulaire qui se trouve à l’adresse
suivante : http://biblioshs.inist.fr/spip.php?article2
Les réinscriptions se font manuellement et
l’obtention d’un nouveau code peut prendre quelques jours.
Rappel : Sont ayants droit les unités CNRS
dépendant de l’institut des sciences humaines et sociales (INSHS). Un code
confidentiel est attribué à chaque unité ayant droit. Il est valable pour les
chercheurs CNRS, chercheurs non CNRS, doctorants et post-doctorants de l’unité.
BIBLIOTHÈQUES NUMÉRIQUES :
17 janvier 2012 Ruth.Martinez Info GFII
Une analyse par Calimaq de l'amendement proposé
par Hervé Gaymard supprimant la possibilité
d’exploitation gratuite au bout de 10 ans des
titres pour lesquels aucun titulaire de droits, autre que l’éditeur de
l’ouvrage papier, n’aura pu être retrouvé par la société de gestion collective
qui sera instituée pour gérer les droits sur les livres indisponibles. Cette
disposition figure dans la proposition de loi sur l’exploitation des livres du
20ème siècle, voté par le Sénat en première lecture en décembre.
Source : scinfolex.wordpress.com
VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE :
Veille technologique internationale
Bulletins Electroniques - Canada 396 16/01/2012
Astronomie
Ecologie
Infectiologie
Médecine et vieillissement
Neurologie
Photovoltaïque
Physique quantique
le 16 janvier 2012 Sophie Her et Jean-Luc
Traineau Intelligence économique en quelques clics
Ce 11 janvier 2012, Olivier Buquen, Délégué
Interministériel chargé de l’Intelligence Economique a remis à Eric Besson,
Ministre chargé de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie Numérique un
rapport intitulé “Les stratégies d’influence de la France dans le domaine de la
normalisation internationale”.
Rédigé avec un groupe d’experts issus du secteur
privé et du secteur public, ce rapport rappelle que la normalisation contribue
à 0,80% du PIB avec ses 15 milliards annuels de facturation. Cette tendance à la
hausse s’expliquerait par :
le développement accéléré de la normalisation
internationale;
la participations d’enceintes informelles au
processus de normalisation;
la participation de plus en plus active de pays
émergents.
D’après ce rapport, la France interviendrait sur
le marché de façon relativement efficace grâce à un dispositif constitué de
mesures, telles que le crédit d’impôt normalisation ou des subventions (depuis
2007 une quarantaine de projets a été soutenue pour un montant de 6,5 millions
d’euros) et d’acteurs tels que l’AFNOR, des
comités stratégiques dans chaque secteur d’activité ou des experts de
l’administration française. Elle occuperait ainsi la 2ème place dans les
instances européennes et la 3ème place au niveau mondial.
PÔLES de COMPÉTITIVITÉ, PÔLES d'EXCELLENCE :
17 janvier 2012
Check Pôles de compétitivité by sutton: Pôle de
Compétitivité Matériaux - Le Pôle // Pôle de compétitivité chimie,
environnement, développement durable ...
COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :
2ème journée d’étude
« La reconnaissance de l’écrivain à l’épreuve de la célébrité » : logiques
professionnelles
Laboratoire Communication et politique (CNRS)
Groupe de Recherche sur la presse magazine (Centre d’Histoire de Sciences-Po)
Mardi 17 janvier 2012, 9h30-16h45
Centre d’Histoire de Sciences-Po
Salle de réunion du 1er étage
56 rue Jacob, 75006 Paris
Manifestation ouverte à tous
Mardi 24 janvier 2012, 12h30 à 14h30, MSCI
Page publiée le 16 janvier 2012
Cette séance du Séminaire de l’ISCC est
consacrée à l’évaluation des structures, avec la participation de Jean-François
Dhainaut et Rémy Mosseri.
Sommaire :
Institut des sciences de la communication du
CNRS (ISCC)
20 rue Berbier-du-Mets, Paris 13e
Métro 7, Les Gobelins
L’ADBS est partenaire du 11ème Forum européen IES
2012 qui se tiendra à Lille
du 10 au 12 octobre 2012. Au programme, des sessions plénières et des
ateliers thématiques. Les auteurs désirant faire acte de candidature sont priés
d’envoyer leur proposition de communication avant le 16 avril 2012.
Le Forum IES est organisé depuis 20 ans par la
Commission Information pour l'Entreprise (CIpE) de 3AF, Association
Aéronautique Astronautique de France.
Créée en 1984, la CIpE est un réseau de professionnels
dont les métiers sont liés à l'Intelligence Économique : veille, analyse,
documentation, propriété intellectuelle, prospective, stratégie, etc.
Ses membres sont issus des principaux secteurs
de l'industrie et des services.
La CIpE est un lieu de « formation permanente »
qui permet à ses membres de partager leurs expériences opérationnelles lors de
réunions plénières et de groupes de travail.
IES2012 réunira un panel d'acteurs :
professionnels, chefs d'entreprises, experts, institutionnels, universitaires...
de tout secteur d'activité et concernés par les domaines suivants :
Veille / Intelligence Économique / Analyse
Innovation / Prospective / Propriété
Intellectuelle
Stratégie / Marketing / Business Development
Communication / Lobbying
Sûreté / Sécurité
"Des technologies, au service de notre
mobilité, permettent à nos environnements de travail de nous accompagner dans
notre quotidien. Des outils nomades de plus en plus séduisants et de plus en
plus fonctionnels sont proposés sur le marché
On ne peut imaginer que le monde universitaire
ne soit pas impliqué dans ce mouvement des usages. Ils nous permettent
aujourd'hui d'étudier partout et tout le temps. L'université sort de ses murs,
pour en faire quoi ?
C'est dans ce contexte socio-technologique que les Journées Numériques (JNUM 2012),
organisées par l'Université Paris Descartes aborderont les questions soulevées par
le mobile-learning."
Un des quatre thèmes retenus concerne la
documentation :
Thème 1 : Les outils mobiles et les accès aux
ressources documentaires
Un appel à communication est possible jusqu'à la
fin du mois de janvier
Voir le site des journées numériques 2012 : http://jnum12.parisdescartes.fr/accueil
Dates : 28 et 29 mars 2012 Paris
09/02/2012 Nancy CCI
Le durcissement de la concurrence conduit
parfois les entreprises à pénétrer le champ obscur de la manipulation de
l'information. Désormais, pour certains acteurs particulièrement agressifs,
l'objectif prioritaire n'est plus de satisfaire les besoins du marché, mais de
détruire psychologiquement les offres et la réputation de concurrents dans
l'esprit des clients. Ces méthodes offensives s'inspirent largement de savoirs
provenant du monde des opérations clandestines, même si la filiation avec
ceux-ci
est rarement évoquée.
La CCI de Meurthe et Moselle souhaite
sensibiliser les entreprises de Meurthe-et-Moselle sur ces pratiques
offensives.
A ce titre, elle organise une conférence-débat
jeudi 9 février 2012 à 17 h à la CCI de Meurthe
et Moselle - 53 rue Stanislas à Nancy
Espionnage ou intelligence économique ? où est
la limite ?
Les nouvelles pratiques agressives de la
compétition économique
Par Eric
DENÉCÉ
directeur du Centre Français de Recherche sur le
Renseignements (CF2R.)
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