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vendredi 13 janvier 2012

Veille 13 janvier 2012




NTIC :


Le Point.fr - Publié le 11/01/2012 à 18:46 - Modifié le 12/01/2012 à 12:37

Le salon mondial de l'électronique livre son cru 2012 de nouveautés high-tech. Découvrez-les, sur place, avec nos envoyés spéciaux.


13 janvier 2012 demain la veille


SCIENCES ET SOCIÉTÉ : 


12 janvier 2012 Le monde
Ce qui nous amuse, c'est de faire bouger le marché ", a assuré Xavier Niel, le fondateur d'Iliad (actionnaire à titre individuel du Monde), mardi 10 janvier, en rendant publique l'offre de téléphonie mobile de sa filiale, Free. Présomptueux ? Avec des tarifs agressifs (19,99 euros pour de la voix illimitée, 2 euros pour 1 heure d'appels, le tout sans engagement, mais sans téléphone), "Iliad a fixé un nouveau standard de prix pour le mobile, comme il l'a fait pour le fixe (en 2002, il avait instauré le triple play, Internet, TV sur le Web et téléphone fixe illimité à 29,99 euros)", estime Vincent Teulade, du cabinet PWC.


Jeu 12 Jan 2012 Thomas Estimbre Presse citron
Alors que Free sème la pagaille dans le paysage de la téléphonie mobile française, les trois « historiques » (Orange, SFR et Bouygues) ainsi que les MVNO (Virgin Mobile, Sosh) ont tenu à répondre à l’offre illimité de Free. Après avoir révolutionné le monde de l’internet français avec le « triple play » au début des années 2000 ; Free a décidé de se lancer dans la téléphonie mobile de la même manière, à savoir de façon très agressive. En effet, si les offres le sont particulièrement, la manière a également marqué. Largement inspiré des Keynotes, bien que l’intéressé s’en défende, Xavier Niel a eu des mots forts à l’encontre de ses concurrents, n’hésitant pas à qualifier les clients des trois grands opérateurs de « pigeons ».

Jeu 12 Jan 2012 Nicolas Lecointre Presse citron
D’après le Centre d’Information d’Internet de Chine (CNNIC), le nombre d’internautes chinois aurait récemment dépassé la barre du demi-milliard. Petit aperçu de la situation actuelle de la Chine sur le Web.
Le CNNIC serait parvenu à estimer le nombre d’utilisateurs d’Internet en Chine, et celui-ci se serait élevé à 505 millions à la fin du mois de novembre 2011. L’étude, publiée par le centre d’informations hier, nous informe par la même occasion que 40% de la population chinoise aurait désormais accès à Internet — il est clair que ce chiffre est en majeure partie dû à la vitesse d’urbanisation soutenue qui se tient en ce moment dans le pays.
Vendredi 13 janvier 2012 Lorraine numérique
Baptisé « Code d’Urgence », un QR code permettra bientôt aux médecins du Samu en Moselle d’accéder rapidement aux données médicales des patients accidentés, via un smartphone.
Grâce à un autocollant représentant un QR code qu'un motard, par exemple, aurait apposé sur son casque, les médecins pourraient avoir accès aux données médicales si celui-ci était accidenté.
Ce dispositif sera déployé le lundi 16 janvier dans la Sarthe et la Loire-Atlantique. D'autres départements français pourraient également utiliser ce système dès lors que la CNIL aura donné son accord. Le SAMU de la Moselle en a fait la demande et verra son déploiement au deuxième trimestre 2012.


CNRS : 

En direct des labos

Une équipe de l’Institut Charles Sadron du CNRS a créé un nouveau type de surface mimant la capacité des cellules à dévoiler certaines fonctionnalités à la surface de leur membrane à la suite d’un stimulus mécanique. Ce travail est publié dans la revue Journal of the American Chemical Society de janvier 2012.

L’analyse des mesures quotidiennes du débit des fleuves himalayens réalisées depuis environ 30 ans et des travaux de simulation ont conduit des chercheurs de deux laboratoires français, Géosciences Rennes (OSUR, Université Rennes 1 / CNRS) et Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP, CNRS / UPS / IRD / CNES), et du Geology institute (TU Bergakademie Freiberg, Allemagne) à remettre drastiquement en question la vision du cycle de l’eau dans cette région. Dans l’Himalaya, le transfert des eaux de précipitation vers les fleuves est en effet modulé davantage par leur stockage temporaire dans des aquifères fracturés que par leur stockage sous forme de neige et de glace ou l’évapotranspiration. Cette étude est publiée  dans Nature Geoscience.

Communiqués de presse

Paris, 12 janvier 2012
Bien que solides, les roches du manteau terrestre se déforment très lentement. L'équipe du professeur Patrick Cordier au sein de l'Unité matériaux et transformations (Université Lille 1/CNRS) vient de mettre au point un nouveau modèle permettant, sur des échelles de temps de plusieurs millions d'années, de faire le lien entre la déformation de ces roches et la convection du manteau, véritable moteur de la tectonique des plaques. Jusqu'à présent, aucune méthode expérimentale en laboratoire n'avait permis d'atteindre les conditions réelles de déformation des roches du manteau. En appliquant ce modèle à l'oxyde de magnésium, solide présent dans le manteau terrestre, les scientifiques ont pu montrer comment les défauts à l'échelle atomique de ce minéral pouvaient être transmis à plus grand échelle et sur de longues périodes de temps. Publiés dans la revue Nature du 12 janvier 2012, ces résultats remettent en cause certaines approches expérimentales à hautes pressions et températures. Ils montrent que seule une couche de faible épaisseur à la base du manteau peut être considérée comme un fluide visqueux, ailleurs le manteau se comporte comme un solide plastique.

Paris, 12 janvier 2012
Dans la Voie Lactée, une planète au moins gravite autour de chaque étoile. Cette estimation de l'abondance des planètes hors du Système Solaire a été obtenue grâce à l'étude statistique menée par Arnaud Cassan, chercheur à l'Institut d'Astrophysique de Paris (UPMC/CNRS), dans le cadre d'une collaboration internationale. Elle met en évidence une forte proportion de planètes cousines de la Terre par leur masse.
Publiés le 12 janvier dans la revue Nature, ces résultats sont le fruit de six années d'observations de millions d'étoiles à l'aide d'une méthode performante basée sur l'effet de microlentille gravitationnelle.
Paris, 10 JANVIER 2012
Du fait des changements climatiques, les régimes des vents se modifient dans l'océan Austral. L'augmentation de la vitesse du vent a permis aux grands albatros de l'île de Crozet de se déplacer plus rapidement pour obtenir leur nourriture. Tel est le résultat mis en évidence par des chercheurs CNRS du Centre d'études biologiques de Chizé (CEBC). Ce phénomène a modifié la répartition de ces oiseaux marins et amélioré leur condition physique ainsi que leur succès reproducteur. Une situation favorable qui risque de ne pas perdurer si les zones ventées continuent à se déplacer vers le sud. Menée avec le soutien de l'Institut polaire français, cette étude est publiée dans la revue Science le 13 janvier 2012 dont elle fait la couverture.


IST : 

12 janvier 2012 Michel Vajou Info GFII
L’agrégateur de contenus et agence d’abonnement néerlandaise Swets vient d’annoncer avoir signé des contrats de distribution en ligne des contenus diffusés par la plate-forme CAIRN Info ; par Necplus, un éditeur français de revues en SHS ; par Brepols, un éditeur belge de sciences humaines et religion ; ainsi que les bases de données du Japan Science and Technology Agency (JST) et les contenus d’e-learning de RMIT Publishing, principale presse universitaire australienne. La prise en compte des contenus proposés par CAIRN et par Necplus illustre la tendance des grands agrégateurs servant le marché « académique » international à « localiser » leur catalogue en chargeant des sources non anglophones. La communication scientifique en sciences humaines et sociales, secteur sur lequel travaillent tant CAIRN que Necplus, n’a pas à ce stade fait de l’anglais son unique langue d’expression. D’où l’intérêt pour un agrégateur comme Swets de charger des contenus francophones. Pour CAIRN ou Necplus, la distribution de leurs fonds sur la plate-forme Swets ouvre une fenêtre de visibilité internationale appréciable. En décembre dernier, EBSCO avait de son côté communiqué sur l’amélioration de ses outils de recherche sur fonds germanophones. SwetsWise, le service d’agrégation proposé par Swets donne accès au texte intégral de 13 000 périodiques et de 38 millions d’articles scientifiques. 

13 janvier 2012 Michel Vajou La dépêche du GFII
L’information : le groupe américain EBSCO a annoncé le 10 janvier avoir signé avec la Bibliothèque nationale de France (www.bnf.fr) un contrat aux termes duquel la technologie EBSCO Discovery Service (EDS) sera utilisée comme outil de recherche fédérée sur l’ensemble de ses collections. EBSCO Discovery Service « moissonne » systématiquement les métadonnées produites par 20 000 éditeurs pour les documents qu’ils publient, pour en faire un gigantesque index (l’EDS Base Index) actualisé en permanence. Ce « Base Index » permet à la technologie de recherche qu’est aussi EDS de mobiliser l’information dans le cadre d’une recherche fédérée sur un ensemble hétérogène de ressources « full text » au niveau le plus fin permis par l’indexation originelle des documents. Et ce avec des temps de réponse très rapides puisque l’exploitation des métadonnées est systématique et se fait en amont de toute recherche. Les bibliothèques adoptant EDS peuvent faire de la « Search Box » unique d’EDS leur interface de recherche d’information à la fois sur les ressources issues de EBSCO Host (le service d’agrégation de sources en plein texte proposé par EBSCO) mais aussi de toute autre corpus de documents numérisés auxquelles elle ont accès - que ce soit des fonds documentaires fournis par des agrégateurs tiers tel EBSCO, Highwire Press, ProQuest ou Swetswise ; ou que ce soit leurs propres collection numérisées comme c’est le cas au sein de la BnF pour Gallica. A terme tout le catalogue OPAC de la BnF sera intégré dans les index d’EDS.
L’analyse de la Dépêche : Pour EBSCO Discovery Service le partenariat avec la BnF est une référence prestigieuse. Dans le communiqué publié par EBSCO, Hervé Colinmaire, responsable des systèmes d’information de la BnF motive le choix de la solution EDS à la fois par la possibilité de faire en une seule requête une recherche sur l’ensemble de ses ressources numériques, propres à la BnF ou émanant de tiers ; d’effectuer les recherche avec un grand niveau de finesse ; enfin de pouvoir accéder à des fonds francophones dont les métadonnées sont également moissonnées par EBSCO.
La technologie EBSCO Discovery Service matérialise en quelque sorte le triomphe de la technologie d’ « Information Retrieval » fondée sur des index inversés. Une technologie sur laquelle s’est fondée toute l’informatique documentaire depuis le milieu des années 1970. Ceux qui ont la mémoire longue se souviendront qu’au milieu des années 1990 un débat opposait les tenants ces techniques d’informatique documentaire « classiques » (où chaque mot d’un document en plein texte est référencé dans un index inversé, la recherche documentaire comparant ensuite les mots clés d’une requête à cet index) et ceux qui préconisaient une technologie basée non sur l’indexation systématique en amont des termes d’un document, mais sur une exploitation « à la volée » (donc sans indexation préalable) des documents, comparant « en temps réels » les termes d’une requête à ceux du document. L’évolution des technologies informatiques, la puissance toujours accrue des serveurs et l’extension à l’infini des capacités mémoires de ceux-ci, l’enrichissement qui se généralise des documents par des métadonnées sémantiques assurent le triomphe de la technologie des index. C’est cette technologie qui permet aujourd’hui à EBSCO de « mouliner » d’immenses corpus de documents pour constituer son « Index Base ».
Certains utilisent le terme « Discovery Services » comme une amplification du concept d’ « Information Retrieval » c'est-à-dire de l’ensemble des technologies informatiques permettant de repérer une aiguille (le document pertinent) dans une botte de foin (un fonds documentaire rassemblant de multiples documents). Le développement des métadonnées (en particulier d’enrichissement sémantique), leur collecte systématique, améliorent en effet (en terme classiques de « precision » et de « recall ») les performances des systèmes documentaires. C’est dans ce sens qu’est utilisé le mot « Discovery » par EBSCO dans sa marque EBSCO Discovery Service.
Mais d’autres voudraient réserver la notion de « Discovery services » à des applications plus exigeantes, qui ne sont plus de l’ordre de la simple recherche documentaire, mais sont capables de dégager des connaissances nouvelles (par exemple la mise en évidence de la cooccurrence de deux phénomènes au sein d’une littérature scientifique qui pourtant n’identifiait pas a priori cette relation). Cette notion de connaissance nouvelle (« Knowledge discovery ») dégagée par des applications de Text et de Data mining à partir des connaissances accumulées antérieurement est in abstracto un paradigme puissant et qui modifie l’horizon de la production de connaissances. Celles-ci ne sont plus forcément produites à partir d’un dispositif expérimental ou d’une enquête originale, mais peuvent être dégagées à partir des gisements préexistants (le plus souvent textuels) de connaissances. Mais il est probable que les deux acceptations du terme de Discovery sont appelées pour quelques temps à coexister.

13 janvier 2012 Michel Vajou Info GFII
Les groupes UBM et Roularta (principal groupe d'édition de presse et d'imprimerie en Belgique) ont publié le 9 janvier le communiqué que l'on lira ci-dessous. La presse médicale imprimée, financée par la publicité, se porte mal en raison de la baisse des budgets marketing des grands laboratoires pharmaceutiques. Thomson Reuters a cherché sans succes à se defaire de cette activité. Wolters Kluwer vient de céder sa presse médicale à Springer. Le rapprochement entre UBM et Roularta est la conséquence de cette crise. UBM s'était déjà séparé l'an dernier de sa presse médicale en France.
"Roularta Media Group et UBM ont conclu un accord visant à regrouper leurs activités respectives dans le domaine de la presse médicale en Belgique, c.à.d. Roularta Medica et UBM Medica, dans une joint venture 50/50. Cette entreprise commune s’appellera ActuaMedica S.A. 
Roularta Media Group et UBM ont décidé de regrouper leurs activités dans la presse médicale belge, connues respectivement sous les noms de Roularta Medica et UBM Medica, dans une joint venture 50/50 qui s’appellera ActuaMedica. Cette nouvelle entreprise commune démarre aujourd’hui. Les deux groupes d’édition ont choisi cette formule parce qu’elle offre les meilleures garanties de stabilité pour l’avenir de la 
presse médicale dans notre pays. ActuaMedica devient ainsi le leader incontesté du marché de la communication destinée aux généralistes, aux spécialistes, aux pharmaciens et dentistes à qui il réserve une offre complémentaire et diversifiée de produits, allant d’éditions imprimées et digitales jusqu’à l’événementiel, la télévision, etc. La nouvelle maison d’édition sera logée dans les bureaux de Roularta à Evere et sera dirigée par Ben Houdmont, jusqu’à présent CEO de UBM Medica Belgique. 
Dans le secteur pharmaceutique, celui des généralistes en particulier, le marché publicitaire est difficile depuis quelques années déjà. En réunissant les deux maisons d’édition en une seule entité, l’offre existante peut être optimalisée, la qualité de l’information et des services aux lecteurs maintenue, l’assistance aux annonceurs 
renforcée. ActuaMedica S.A. sera gérée comme une entité indépendante, détachée des deux groupes actionnaires. 

12 janvier 2012 par Sophian Fanen Ecrans
Depuis la fin de l’année dernière, et suite au toilettage de la loi dite Lang de 1985, la copie privée n’est plus autorisée en France qu’à partir de sources « licites », c’est-à-dire acquises légalement (la loi demande même que cette origine légale soit prouvée). Une modification introduite suite à une décision du Conseil d’Etat datant de 2008, qui estime que « la rémunération pour copie privée a pour unique objet de compenser, pour les auteurs, artistes-interprètes et producteurs, la perte de revenus engendrée par l’usage qui est fait licitement et sans leur autorisation de copies d’œuvres fixées sur des phonogrammes ou des vidéogrammes à des fins strictement privées ».
La disposition a depuis fait bondir la Quadrature du Net, mais elle fait aussi gamberger les bibliothécaires et conservateurs qui militent pour la libre circulation de la culture, qui en tirent aujourd’hui une conséquence indirecte plus qu’intéressante.


Jeu 12 Jan 2012 Info GFII
Un projet de loi, le Research Works Act, présenté par les sénateurs Darrell Issa and Carolyn Maloney au Congrès vise à interdire explicitement aux agences de recherches fédérales de conditionner leur financement de projets de recherche à la publication en libre accès des résultats de ces recherches. S’il n’est pas nommé le NIH (National Institutes of Health), l’organisme fédéral finançant la recherche biomédicale sur fonds publics, est dans le collimateur. Le NIH a très tôt plaidé pour une diffusion en Open Access des articles dérivant des recherches qu’il finance. Le Congrès américain a dans un législation antérieure approuvé la politique du NIH sous réserve du respect d’un embargo de six mois à compter de la première publication dans une revue scientifique « peer reviewed ». Aussi tôt connu le dépôt auprès de la commission de la réforme de l’Etat de la Chambre des représentants du Research Works Act, les partisans de l’Open Accces ont mobilisé leurs troupes pour sensibiliser les législateurs américains au pas en arrière que ce texte de loi ferait faire à la communication scientifique. The Association of American Publishers (AAP) et sa division “Professional and Scholarly Publishing” Division ont soutenu le Research Works Act. Alors que l’on croyait le débat sur l’Open Access apaisé, de plus en plus d’éditeurs “for profit” se ralliant à ce modèle, la proposition de loi américaine montre que le feu couvre encore sous la cendre


12 janvier 2012 Info GFII
Acquisition enhances Elsevier’s ability to help researchers and information professionals improve their search, retrieval and content management efficiency
Amsterdam, January 12, 2012 - Elsevier, the world-leading provider of scientific, technical, and medical information products and services, announced today the acquisition of QUOSA a content management and workflow productivity solutions provider for researchers and information managers.
QUOSA’s current solutions and platform, including its Information Manager and Virtual Library, will continue to be supported. QUOSA’s technological capabilities will be developed into Elsevier-branded solutions, raising the efficiency of the search and discovery process. They will also allow researchers and information professionals to manage information more efficiently at the various stages of the research workflow including organizing, archiving and sharing. 
“Elsevier is focused on delivering productivity enhancing tools to researchers and information managers to help accelerate and promote scientific discovery. Our acquisition of QUOSA ensures that we continue to deliver more value to our customers by improving the search, retrieval, management, analysis and sharing of the increasingly disparate types of information required to improve research outcomes,” said Alexander van Boetzelaer, Managing Director of Elsevier Corporate Markets. “QUOSA brings to Elsevier an innovative offering and technological expertise that align well with Elsevier today.”
Elsevier and QUOSA have collaborated successfully since 2007 when the latter’s PDF Download Manager was incorporated in SciVerse Scopus. Later the feature was embedded in SciVerse ScienceDirect. Elsevier’s acquisition of QUOSA marks a continuation of this collaboration which has boosted research productivity for the users of both solutions. 
"QUOSA empowers enterprises to share full-text scientific information faster and more efficiently, helping users to get more out of their information while controlling costs, all with one easy-to-use copyright observant solution,” said Malcolm MacKenzie, President and CEO, QUOSA. “Both our customers and the wider research community stand to benefit from the pooling of resources and expertise with Elsevier.” 
Founded in 1996 and headquartered in Boston, QUOSA began by targeting the academic and government segments and now also serves a range of corporate customers, including more than half of the Top 25 pharma-biotech companies. Financial details of the acquisition are not being disclosed. .


BIBLIOTHÈQUES NUMÉRIQUES : 

13 janvier 2012 via Michel Vajou GFII
Les libraires indépendants veulent aussi pouvoir proposer des livres numériques à leurs clients. « Ceux qui ont un site Internet peuvent déjà vendre des livres en format numérique, mais les acheteurs ne bénéficient pas de l'ergonomie apportée par les liseuses, comme celles des grands distributeurs », souligne Matthieu de Montchalin, président du Syndicat de la librairie française (SLF). Le Kindle d'Amazon, l'iPad d'Apple ou la liseuse Kobo de la FNAC, pour ne pas les nommer... « Face au décollage annoncé cette année du livre numérique, nous devons construire notre offre », poursuit-il. Dans cette optique, les libraires ont entamé des discussions avec des fabricants de liseuses, et Matthieu de Montchalin espère annoncer un partenariat avant la fin du premier trimestre. Il compte sur le soutien des éditeurs, qui, dit-il, « ont besoin d'une offre alternative à celle des grands opérateurs, faute de quoi ils risquent de perdre leur pouvoir de négociation... »


VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE : 


13 janvier 2012Par Annette Schläfer hypothèses
Des flux RSS : qu’est-ce que c’est ?
Un flux RSS (RSS feed en anglais)
est un fichier au format xml, un fichier organisé selon une certaine norme qui permet l’échange de données
est un fichier dynamique (actualisé en permanence et actualisé automatiquement)
permet de s’abonner au flux d’information / aux mises à jour / aux actualités d’un site Internet
Organisation par rubriques sur le site…
Un site internet organisé par rubriques n’affichera peut être pas toujours tous les ajouts de toutes les rubriques à la une du site. Des informations récemment ajoutés au site peuvent être classées dans différentes rubriques (ici par exemple : une nouvelle offre d’aide à la mobilité, une nouvelle parution et un nouveau Call for papers pour un colloque). Pour trouver ces trois informations, il faudrait consulter toutes les rubriques du site.


Edition du 13/01/2012 - par Bertrand Lemaire CIO Online
Xavier Delengaigne vient de publier un guide pratique de la veille en ligne. A mettre entre toutes les mains. La veille informationnelle professionnelle ne peut pas se limiter à « googler » tel item ou telle personne de manière plus ou moins régulière. Certes, il existe des solutions onéreuses et performantes réalisés par des éditeurs spécialisés (Digimind, Ami Software...) mais il est également possible d'optimiser son utilisation des outils disponibles gratuitement sur le web. C'est dans ce but que Xavier Delengaigne a publié son ouvrage "Organiser sa veille sur Internet" aux éditions Eyrolles.

Veille technologique internationale

Bulletins Electroniques -  Japon 601 13/01/2012
Biologie
Espace
Ingénierie





MIND MAPPING : 

12 janvier 2012 Freemind par l'exemple
Ce n'est pas une nouvelle extrêmement fraiche, mais Freeplane se décline désormais en version 1.2 beta depuis Décembre. En clair, cela signifie que les bugs sont font plus rares et que cette version de Freeplane gagne en stabilité. Pour vous faire une idée de ce qui vous attend dans cette version, je vous invite à (re-)consulter les billets écrits à ce sujet ICI, LA, par LA, et parICI.
A cela, on peut dorénavant ajouter la possibilité d'ajouter de vrais noeuds libres. Auparavant, il s'agissait de noeuds rattachés au coeur, mais invariablement reliés autres branches : descendre une branche "libre" revenait à descendre toutes les branches classiquement reliées au coeur. Ce problème n'existe plus. On peut même se faire chevaucher un noeud libre et un noeud classique.
Autre nouveauté : Freeplane gère désormais les modules, compléments externes au programme qui permettent d'ajouter de nouvelles fonctionnalités. Les utilisateurs de Firefox et Thunderbird savent de quoi il s'agit. Les modules sont peu nombreux aujourd'hui, mais l'un d'eux permet, par exemple d'ajouter de nouvelles icônes de taille plus importante que celles livrées de base avec Freeplane.


PÔLES de COMPÉTITIVITÉ, PÔLES d'EXCELLENCE :

13 janvier 2012 BÉATRICE PUJEBET Le Point
Faire faces
"Et si on mettait en place un partenariat avec Airbus pour partager nos connaissances en matière de simulation, eux pour les pilotes et nous pour les chirurgiens ?" Entre deux opérations, le professeur Bernard Devauchelle, mondialement connu pour la première greffe du visage réalisée dans son service de chirurgie maxillo-faciale, au CHU d'Amiens, en novembre 2005, fourmille d'idées pour donner de l'ampleur à son futur Institut Faire faces. Seul centre au monde à travailler autour de la reconstruction de la face, l'institut est en quête de fonds."Il nous faut 20 millions pour la construction et 20 millions pour l'équipement", détaille le professeur Devauchelle.


COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :

JOURNÉE D'ÉTUDE
Mardi 03 avril 2012 | Caen (14000)
Publié le jeudi 12 janvier 2012 par Claire Ducournau
RÉSUMÉ : Les troisièmes journées du réseau Médici se tiendront les 3 et 4 avril 2012, à l'Université de Caen Basse-Normandie sur le thème : « Les modèles économiques de l'édition scientifique publique : les connaître pour optimiser sa stratégie éditoriale ». Avec près d'un million d’articles scientifiques révisés par les pairs dans le monde et par an (d'après le rapport de l’UNESCO sur la science 2010), l'édition scientifique publique est un enjeu majeur de la valorisation et la diffusion des travaux de recherche. À quel prix diffuse-t-on le savoir ? Quels sont les acteurs qui entrent en jeu en France ? Quels modèles économiques et commerciaux sont possibles à l'heure de l’accès libre ? C'est à débattre de ces questions que vous invite le réseau Médici lors de ces troisièmes journées de réflexion et de formation s’adressant à tous les acteurs de la chaîne éditoriale : secrétaires de rédaction, responsables d’édition, chargés de fabrication, infographistes, maquettistes, directeurs de revue, chargés de communication ou de diffusion… Les journées s'organisent autour de conférences plénières, d'une table ronde et d’ateliers de formation permettant d’approfondir la pratique de nos métiers. Information, programme détaillé et inscription : http://medici2012.sciencesconf.org/

Internet : du crime organisé au cyber-terrorisme, quels risques ?
INFOS PRATIQUES
Université Catholique de Lille
60 boulevard Vauban ­ BP 109 - 59016 LILLE cedex
Contact : http://www.univ-catholille.fr/
Lieu du Colloque : 58 rue du port, Lille
Amphi RS 30 Espace Robert Schuman

A pied : 25 min depuis la gare Lille Flandres Par le bus : Citadines :
arrêt « 12 : arrêt « Université Catholique », bd Vauban ; Ligne 14 et
17 : arrêt rue de Toul www.transpole.fr ou numéro vert 0 820 42 40 40
Par le métro : Ligne 1 Cormontaigne ou Port de Lille Par la route :
(A27) : périphérique direction Dunkerque par l’autoroute, sortie n°4 ;
Dunkerque (A25) : sortie n°5.Taxi : 03 20 06 06 06
Au programme :
09h00 Accueil des participants
09h30 Mot d’ouverture
Thérèse Lebrun, Président-recteur de l’UCL
M. le Général (2S) Jean-Claude Thomann, Chargé de mission
Lille Eurométropole Défense Sécurité

I- Introduction à la journée d’étude (9h45-10h45) Présidence : Jean-Paul Pinte
Définitions clefs - Risques et conséquences - Les enjeux -
Par Jean-Paul Pinte, Docteur en Sciences de l’information et de la
communication, MCF, Université Catholique de Lille, cyber-criminologue et
Lieutenant-colonel (RC) de la Gendarmerie nationale
Les phénomènes globaux de criminalité : introduction historique (16ème ­
19ème siècle)
Par Régis Verwimp, Docteur en histoire et Civilisations, Chargé d’enseignement
à l’Université Paris 5 Descartes
Monde criminel et cybercrime : logique, prédations
Par Xavier Raufer, Directeur des études, Département de recherche sur les
Menaces Criminelles Contemporaines (MCC), Université Paris II ­ Panthéon-
Assas.
10h45 Pause-café
II- Modes opératoires et (11h00- 12h00) Présidence : Jean-Paul Pinte
Evolution des technologies employées
Par Pascal Lointier, Président du Club de la Sécurité de l'Information Français,
Profils et recrutement des cyber-délinquants
Par le Lieutenant David Cassel, Chef du groupe cybercriminalité, division
économique et financière de la Section de Recherches de Villeneuve d'Ascq
Cybercriminalité et Cyberterrorisme
Par Daniel Ventre, Ingénieur CNRS, Chargé de cours à Telecom ParisTech,
Directeur de la Collection Cyberconflit et Cybercriminalité aux Editions Hermès
ISTE
12h00 Echanges-débats
12h30 Pause déjeuner libre
14h00 Reprise des travaux
III-Traitement et gestion du risque (14h00-15h45) Présidence : Myriam Quémener
Traitement Juridique de la cybercriminalité
Par Myriam Quémener, Magistrat à de la Cour d’appel de Créteil, experte pour
le Conseil de l’Europe en matière de cybercriminalité
Traitement assurantiel : de l’anticipation à la réparation
Par Jean-Laurent Santoni, Directeur du développement de GRAS SAVOYE RISK
CONSULTING
La fraude identitaire comme nouvelle voie pour la criminalité
Par Marie Azevedo, Directrice et Fondatrice de la société RESOCOM
Cybercriminalité et perception institutionnelle : l’exemple de l’OCLCTIC
Par Adeline Champagnat, Office central de lutte contre la criminalité liée aux
technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC)
OCLCTIC, Ministère de l'intérieur
15h30 Echanges-Débats
15h45 Pause-café
IV- Perspectives/Projection (16h00-17h00) Présidence : Myriam Quémener
Le scénario d’une Cyber-guerre relève t’il de la science fiction ?
Par Olivier Kempf, Maître de conférences à Sciences Po, auteur de "stratégie
dans le cyberespace", éditions l'Esprit du Livre
Perspective à l’horizon 2020
Par Daniel Guinier, Docteur ès Sciences, Expert en cybercriminalité près la Cour
Pénale Internationale, Lieutenant-colonel (RC) de la gendarmerie nationale
Conclusions du grand témoin (17h00-17h30)
Par Norbert Fort, Chef du service des plaintes de la CNIL
17h30 Cocktail de clôture réservé

Colloque INTD-CNAM (Dicen) / Paris 8 (Index-Paragraphe)
31 janvier 2012
Qu’est-ce qu’un architecte de l’information ?
CNAM, 292 rue St Martin, Paris 3ème, Amphi Z


LIRE : 

Jeu 12 Jan 2012 revues.org 
Publication du n° 365 (2011), Lumières et révolutions en Amérique latine.Publiées par la Société des études robespierristes et Armand Colin, les Annales historiques de la Révolution française, seule revue française et internationale consacrée à cet objet historique, proposent aux abonnés quatre livraisons par an, soit un volume annuel total d'environ 1000 pages, présentant une alternance de numéros thématiques et de varia. Chaque volume comporte, outre des articles de fond et des documents inédits, une sélection de comptes rendus d'ouvrages, une chronique des thèses universitaires soutenues, des annonces de colloques et de séminaires, un index annuel des articles sur la période révolutionnaire parus dans d'autres revues. Des tables et des index décennaux sont publiés séparément pour faciliter la consultation des volumes parus depuis 1908 et qui restent disponibles sous forme de réimpressions ou d'originaux. 

Jeu 12 Jan 2012 revues.org 
Mise en ligne du n° 35 (2011), Virtuosités ou les sublimes aventures de la technique, en texte intégral.
Ateliers d'anthropologie est une revue thématique électronique à comité de lecture. Ouverte aux objets les plus divers, ancrés dans des ethnographies alliant rigueur empirique et innovation théorique, la revue édite l'anthropologie en train de se faire. Sa mise en ligne intégrale permet d'inclure toute ressource documentaire et multimédia.

Jeu 12 Jan 2012 revues.org 
Mise en ligne du n° 204 (2011), Varia, en texte intégral.
Créés en 1960, les Cahiers d’Études africaines publient des numéros composés d’articles inédits qui témoignent des tendances de pointe de la recherche, théorique et de terrain, et des discussions qu’elles suscitent. 
Tout en étant interdisciplinaire, la revue privilégie une approche anthropologique et historique, et traite de l’Afrique, des Antilles et des Amériques noires dans toutes leurs extensions. Les numéros thématiques annuels constituent autant d’ouvrages de référence sur une région, une question ou l’état d’une discipline. La publication d’articles en français et en anglais contribue à la reconnaissance internationale de la revue.

Ven 13 Jan 2012  revues.org 
Publication du n° 34 (2011), Liens familiaux, en texte intégral






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