NTIC :
6 septembre 2011
Le tarif social d'Internet en bonne voie
Le ministre de l'Industrie Eric Besson réunira le 13 septembre les opérateurs télécoms pour leur soumettre une convention instaurant un tarif social d'Internet, comme il en existe déjà pour le téléphone mobile, a indiqué le ministère lundi 5 septembre, confirmant des informations du Figaro. Eric Besson a en effet annoncé dans le quotidien la mise en place «dans les prochains jours» d'une offre à 20 euros par mois «pour le téléphone [fixe] et l'Internet haut débit, plus 3 euros par mois pour une box». Le gouvernement avait saisi en mars l'Autorité de la concurrence sur la mise en place d'un tel tarif destiné aux personnes à faibles revenus. Début juillet, l'Autorité avait jugé que cette proposition était «compatible avec le droit de la concurrence».
source 13h@e.strategies.fr
5 septembre 2011
6 septembre 2011
Le tarif social d'Internet en bonne voie
Le ministre de l'Industrie Eric Besson réunira le 13 septembre les opérateurs télécoms pour leur soumettre une convention instaurant un tarif social d'Internet, comme il en existe déjà pour le téléphone mobile, a indiqué le ministère lundi 5 septembre, confirmant des informations du Figaro. Eric Besson a en effet annoncé dans le quotidien la mise en place «dans les prochains jours» d'une offre à 20 euros par mois «pour le téléphone [fixe] et l'Internet haut débit, plus 3 euros par mois pour une box». Le gouvernement avait saisi en mars l'Autorité de la concurrence sur la mise en place d'un tel tarif destiné aux personnes à faibles revenus. Début juillet, l'Autorité avait jugé que cette proposition était «compatible avec le droit de la concurrence».
source 13h@e.strategies.fr
5 septembre 2011
Using Twitter in my classroom
©AFP / 06 septembre 2011
Les chiffonniers des nouvelles technologies traitent 30.000 mobiles/mois
PARIS - Avec près de 30.000 téléphones mobiles usagés traités par mois, les chiffonniers des nouvelles technologies d'Emmaüs sont passés à la vitesse supérieure, selon le directeur des Ateliers du Bocage (ADB), Bernard Arru.
06 septembre 2011
La visiophonie par la TV présentée à l'IFA
Logitech s'associe à Panasonic pour développer une webcam à connecter sur TV. La "TV Cam for Skype" vient d'être présentée au salon IFA de Berlin.
©AFP / 06 septembre 2011
Les chiffonniers des nouvelles technologies traitent 30.000 mobiles/mois
PARIS - Avec près de 30.000 téléphones mobiles usagés traités par mois, les chiffonniers des nouvelles technologies d'Emmaüs sont passés à la vitesse supérieure, selon le directeur des Ateliers du Bocage (ADB), Bernard Arru.
06 septembre 2011
La visiophonie par la TV présentée à l'IFA
Logitech s'associe à Panasonic pour développer une webcam à connecter sur TV. La "TV Cam for Skype" vient d'être présentée au salon IFA de Berlin.
UNIVERSCIENCE & LES RÉSEAUX
Au-delà des enjeux marketing et business, je m’interroge sur les dispositifs numériques communautaires et sur leur capacité à servir des projets de société, particulièrement dans le champ du « dialogue science – société ».
LE REMPART - Nouvelles
La force policière canadienne souhaite renforcer son accès aux nouvelles technologies de communication
07 septembre 2011
par Basile Bakumbane
Le Projet Geowine ou comment les nouvelles technologies permettent de valoriser et de certifier l'origine des vins ?
Toulouse, le 7 Septembre 2011
Agoravox
État de droit et Démocratie, la révolution numérique s'imposera-t-elle ?
CNRS :
CNRS : AG jeudi des directeurs de labos
par sylvestre Huet
Une missive envoyée par les directeurs d'Instituts du Cnrs à tous les directeurs de laboratoire (lire ici). Elle leur demande d'envoyer dès septembre «vos priorités hiérarchisées de recrutement pour les 3 années à venir». Cela semble utile...
Il pleut sur Saturne
Quelle est l’origine de l’eau dans la haute atmosphère de Saturne ? Depuis 1997, les scientifiques se posent la question, sans trouver de réponse. Mais une équipe internationale, incluant cinq chercheurs du CNRS et de l’Observatoire de Paris, vient de résoudre cette énigme. Il pleut sur Saturne.
IST :
veille MyScienceWork - Blog scientifique
L'objectif de cet article est donc de présenter quelques « outils » qui facilitent la recherche documentaire et la mise en place en place d'une veille scientifique ...
L'information scientifique et technique en libre accès : recherche et veille
Au-delà des enjeux marketing et business, je m’interroge sur les dispositifs numériques communautaires et sur leur capacité à servir des projets de société, particulièrement dans le champ du « dialogue science – société ».
LE REMPART - Nouvelles
La force policière canadienne souhaite renforcer son accès aux nouvelles technologies de communication
07 septembre 2011
par Basile Bakumbane
Le Projet Geowine ou comment les nouvelles technologies permettent de valoriser et de certifier l'origine des vins ?
Toulouse, le 7 Septembre 2011
Agoravox
État de droit et Démocratie, la révolution numérique s'imposera-t-elle ?
CNRS :
CNRS : AG jeudi des directeurs de labos
par sylvestre Huet
Une missive envoyée par les directeurs d'Instituts du Cnrs à tous les directeurs de laboratoire (lire ici). Elle leur demande d'envoyer dès septembre «vos priorités hiérarchisées de recrutement pour les 3 années à venir». Cela semble utile...
Il pleut sur Saturne
Quelle est l’origine de l’eau dans la haute atmosphère de Saturne ? Depuis 1997, les scientifiques se posent la question, sans trouver de réponse. Mais une équipe internationale, incluant cinq chercheurs du CNRS et de l’Observatoire de Paris, vient de résoudre cette énigme. Il pleut sur Saturne.
IST :
veille MyScienceWork - Blog scientifique
L'objectif de cet article est donc de présenter quelques « outils » qui facilitent la recherche documentaire et la mise en place en place d'une veille scientifique ...
L'information scientifique et technique en libre accès : recherche et veille
5 septembre 2011 | par Hans Dillaerts
Les ressources scientifiques et techniques en libre accès constituent un fonds documentaire complémentaire assez conséquent : environ 20% des articles scientifiques sont accessibles gratuitement. Si l’accès à ces ressources scientifiques est un enjeu important, l’exploitation de celles-ci en est un autre. Entre les nombreuses archives ouvertes (institutionnelles, thématiques et centrales) et les revues scientifiques en libre accès, il n’est pas toujours évident pour le chercheur de s’y retrouver. L’objectif de cet article est donc de présenter quelques « outils » qui facilitent la recherche documentaire et la mise en place en place d’une veille scientifique des ressources en libre accès.
Projet d'éclatement de l'Institut de l'information scientifique et technique implanté à Nancy
Question écrite n° 19269 de Mme Évelyne Didier (Meurthe-et-Moselle - CRC-SPG)
publiée dans le JO Sénat du 30/06/2011 - page 1693
Edition électronique 06/09/2011
L'ebook a 40 ans
Les ressources scientifiques et techniques en libre accès constituent un fonds documentaire complémentaire assez conséquent : environ 20% des articles scientifiques sont accessibles gratuitement. Si l’accès à ces ressources scientifiques est un enjeu important, l’exploitation de celles-ci en est un autre. Entre les nombreuses archives ouvertes (institutionnelles, thématiques et centrales) et les revues scientifiques en libre accès, il n’est pas toujours évident pour le chercheur de s’y retrouver. L’objectif de cet article est donc de présenter quelques « outils » qui facilitent la recherche documentaire et la mise en place en place d’une veille scientifique des ressources en libre accès.
Projet d'éclatement de l'Institut de l'information scientifique et technique implanté à Nancy
Question écrite n° 19269 de Mme Évelyne Didier (Meurthe-et-Moselle - CRC-SPG)
publiée dans le JO Sénat du 30/06/2011 - page 1693
Edition électronique 06/09/2011
L'ebook a 40 ans
La Bibliothèque numérique de l’Enssib vient de publier »L’ebook a 40 ans » de Marie Lebert . Une partie de ce livre a été publié dans le magazine en ligne ActuaLitté en mai et juin 2011 pour célébrer le 40e anniversaire du Projet Gutenberg le 4 juillet 2011. Une autre partie de ce livre émane d’une série d’articles en anglais publiée dans Project Gutenberg News en juillet 2011, ces articles ayant ensuite été traduits en français
Questel rachète le britannique Research Disclosure et se dote ainsi d'un vecteur reconnu de publication défensive
Questel (www.questel.fr) a annoncé hier le rachat de Research Disclosure, filiale de la société anglaise Kenneth Mason Publication et acteur historique de la «publication défensive». La publication défensive reflète un élément fondamental du droit des brevets : une innovation ne peut plus être brevetée, y compris par son inventeur, si elle a fait l’objet d’une publication (quelle que soit la forme de cette « publication » : communication à un colloque, article scientifique...) antérieure au dépôt de la demande de brevet. «La publication défensive consiste à publier librement une invention que l’on ne souhaite pas breveter, afin d’empêcher quiconque de le faire en créant une antériorité», explique Piers Mason CEO de KMP, «La publication défensive est une alternative simple et économique au dépôt de brevet» confie Charles Besson, Directeur Général de Questel, «et notamment dans les secteurs où les technologies évoluent rapidement, il peut s’avérer plus rentable de choisir cette voie». Par ailleurs, les 50 années de publications défensives de Research Disclosure constituent une base exclusive d’information pertinente pour la recherche d’antériorité et viendront enrichir Fampat, la base de brevets agrégée par Questel
Automated Online Data Collection and Monitoring
Webinar Registration
Are you concerned with the cost of online data aggregation? Unsure of the data quality? Struggling with timeliness of monitoring and collecting web data? Burdened with IT bottlenecks when scripted processes break? Don’t know how to take advantage of the data?
Online data aggregation processes are a source of aggravation for many organizations but, it doesn’t have to be that way. In this lively online forum, you’ll learn how the latest advancements in automated online data aggregation are enabling market leaders to save time and money, increase productivity, and improve data quality. Industry expert Ned May, Vice President and Lead Analyst at Outsell, Inc., will make the case for automating data aggregation processes. Isai Shenker, Vice President of Product Management and Gina Cerami, Vice President of Marketing from Connotate, will then present proof of business value and results with real-world examples.
Topics include:
* When and why, in these challenging economic times, more and more companies are shifting to automation of data collection
* How automated solutions work and where they fit in the technical environment
* How a worldwide leader of news and business information improved the value of its newswire and risk & compliance services by automating web-based data collection and monitoring processes
* Five key considerations when choosing an automated solution
This is a can’t-miss webinar for data and content professionals, business managers, and IT staff who need to know how to address challenges and create competitive advantage in today’s fast-paced publishing and business intelligence environments.
This free webinar is hosted by Outsell’s Gilbane Services and sponsored by Connotate – the leading provider of solutions that help business users automate the collection and monitoring of web-based data quickly, accurately and at a fraction of the cost.
Décès du fondateur du projet Gutenberg : dédiez un document au domaine public pour honorer sa mémoire
"Michael Stern Hart was born in Tacoma, Washington on March 8, 1947. He died on September 6, 2011 in his home in Urbana, Illinois, at the age of 64.
Hart was best known for his 1971 invention of electronic books, or eBooks. He founded Project Gutenberg, which is recognized as one of the earliest and longest-lasting online literary projects.
(...)
This obituary is granted to the public domain by its author, Dr. Gregory B. Newby."
Texte complet
La Dépêche du GFII
La Commission européenne publiera fin 2011 une Communication sur l'accès à et la préservation de l'information scientifique
L’information : La Commission européenne a annoncé son intention de publier fin 2011 une Communication et une Recommandation sur l'accès et la préservation de l'information scientifique numérique. En préalable à la publication de cette recommandation, la Commission a lancé le 15 juillet une consultation en ligne (1) qui sera close ce vendredi 9 septembre. Par ses demandes très orientées, le questionnaire semble préfigurer une recommandation européenne officielle en faveur du libre accès (Open Access). L'ALPSP (Association of Learned and Professionnal Society Publishing, www.alpsp.org) invite ses membres à répondre à cette consultation en contrant l’idée que le libre accès à des articles ou des données serait la contrepartie du financement public de la recherche.
L’analyse de la Dépêche : le débat sur le libre-accès à l’information scientifique, naguère encore si conflictuel, est-il encore d’actualité ? On pourrait le croire en prenant connaissance de la proposition de réponse de l’ALPSP à la consultation européenne. L’association d’éditeurs, au détour d’une question sur les possibles formes d’action de l’Union Européenne dans le champ de l’information scientifique, dénie frontalement (« disagree ») toute légitimité d’une action de l’Europe dans ce domaine : ni la définition d’une politique de niveau européen pour l’accès et la préservation de l’information scientifique, ni l’hypothèse d’une coordination par les institutions européennes des politiques nationales en la matière, ni un simple soutien à la mise en place d’un réseau européen d’archives ouvertes ne trouvent grâce à ses yeux. A juste titre les responsables de l’ALPSP soulignent la confusion faite dans cette consultation entre d’une part l’accès aux publications scientifiques (articles parus dans des revues « peer reviewed ») et d’autre part l’accès aux données scientifiques (« datasets ») issues des recherches financées sur fonds publics. Mais dans un cas comme dans l’autre l’ALPSP souligne qu’il ne doit pas y avoir d’automaticité de la relation entre financement public de la recherche et libre accès aux résultats de cette recherche. Avec un raisonnement simple : pour les éditeurs l’effort éditorial (sélection, mise en forme, production de métadonnées...) doit être rémunéré puisque sans la valeur ajoutée éditoriale, le flux « spontané » de publications et de données serait inexploitable. A juste titre aussi, l’ALPSP relève que le questionnaire européen apparait un peu biaisé, ses formulations laissant à penser qu’il a été rédigé par de chauds partisans de l’Open Access. On remarquera pourtant que 2011 aura vu le débat sur l’Open Access prendre un tour plus consensuel. En janvier dernier étaient présentées lors d’un symposium à Berlin les conclusions de l’étude SOAP (Study on Open Access Publishing, http://project-soap.eu/soap-symposium) qui sur une large base statistique (environ 50 000 réponses de chercheur traitées) prenait la mesure des comportements et des attitudes des chercheurs sur la question de l'Open Access. En avril dernier a été publiée sous l'égide du Publishers Research Consortium (PRC, une émanation de l'association STM qui regroupe au plan mondial les éditeurs scientifiques) une étude qui marquait un net rapprochement entre le point de vue des éditeurs et celui des tenants de l'Open Access. Le débat sur l'Open Access a été jalonné de nombreuses études, mais celles-ci jusqu'à la synthèse d'avril relevaient de deux courants antagonistes : 1) les études menées par des agences de financement de la recherche (i.e. le Welcome Trust) ou des organismes publics d'appui à la recherche (les britanniques au travers du JISC et du RIN ayant fait un effort remarquable en la matière) ; 2) des études conduites par les éditeurs (au travers du PRC) qui généralement prenaient le contrepied des précédentes. L'étude publiée en avril dernier (2) voyait pour la première fois converger ces deux courants, les organismes impliqués dans les études antérieures réunissant leurs efforts pour aboutir (dans un espace restreint, celui de la recherche publique britannique) à une modélisation de différents scénarios d'évolution des politiques publiques en matière d'accès à l'information scientifique. En simplifiant à l'extrême, cette étude mettait en avant le fait qu'un appui des pouvoirs publics à l'Open Access « Gold » (modèle économique fondé sur le paiement par le chercheur publiant de frais de publication) semblait être le scénario présentant le maximum d'avantages et le meilleur rapport coûts/bénéfices). On n'est donc pas trop surpris de voir que la réponse de l'ALPSP à la consultation européenne met elle aussi en avant le scénario du développement du modèle « auteur-payeur » comme le meilleur du point de vue des éditeurs. Alors qu'il y a encore quelques années le modèle « Gold » était perçu par les éditeurs comme une menace. C'est qu'avec le recul les éditeurs scientifiques sont arrivés à la conclusion que ce modèle était le seul qui pour eux présentait d'intéressantes réserves de croissance sans fragiliser leur propre business-model. Les éditeurs ont vérifié dans leurs comptes que l'impact économique du mouvement en faveur de l'Open Access était négligeable. Ces mêmes éditeurs ont constaté que le seul vrai facteur de risque pour leur business model était la stagnation ou l'érosion des budgets des bibliothèques de recherches, qui dans le meilleur des cas leur laissent entrevoir une croissance nulle et des marges sous pression. Par contraste avec la dépense documentaire, la dépense de R&D apparaît moins fragile (même si demain les plans de rigueur nationaux pourraient casser la dynamique des crédits de R&D). Un modèle de Gold Open Access (« auteur-payeur) en s’enracinant directement dans les crédits de recherche (pour lesquels ils représenteraient un surcoût de 1 à 1,5% attribuable à une ligne « communication des résultats de la recherche ») serait moins dépendant des restrictions de crédits. Des éditeurs comme Springer (soit en direct, soit au travers de sa filiale Biomed Central) ou SAGE (qui a racheté il y a quelques années l’éditeur OA Hindawi) sont depuis plusieurs années engagés dans le développement d’une offre de Gold Open Access coexistant avec leur offre traditionnelle.
Liens :
Questel rachète le britannique Research Disclosure et se dote ainsi d'un vecteur reconnu de publication défensive
Questel (www.questel.fr) a annoncé hier le rachat de Research Disclosure, filiale de la société anglaise Kenneth Mason Publication et acteur historique de la «publication défensive». La publication défensive reflète un élément fondamental du droit des brevets : une innovation ne peut plus être brevetée, y compris par son inventeur, si elle a fait l’objet d’une publication (quelle que soit la forme de cette « publication » : communication à un colloque, article scientifique...) antérieure au dépôt de la demande de brevet. «La publication défensive consiste à publier librement une invention que l’on ne souhaite pas breveter, afin d’empêcher quiconque de le faire en créant une antériorité», explique Piers Mason CEO de KMP, «La publication défensive est une alternative simple et économique au dépôt de brevet» confie Charles Besson, Directeur Général de Questel, «et notamment dans les secteurs où les technologies évoluent rapidement, il peut s’avérer plus rentable de choisir cette voie». Par ailleurs, les 50 années de publications défensives de Research Disclosure constituent une base exclusive d’information pertinente pour la recherche d’antériorité et viendront enrichir Fampat, la base de brevets agrégée par Questel
Automated Online Data Collection and Monitoring
Webinar Registration
Are you concerned with the cost of online data aggregation? Unsure of the data quality? Struggling with timeliness of monitoring and collecting web data? Burdened with IT bottlenecks when scripted processes break? Don’t know how to take advantage of the data?
Online data aggregation processes are a source of aggravation for many organizations but, it doesn’t have to be that way. In this lively online forum, you’ll learn how the latest advancements in automated online data aggregation are enabling market leaders to save time and money, increase productivity, and improve data quality. Industry expert Ned May, Vice President and Lead Analyst at Outsell, Inc., will make the case for automating data aggregation processes. Isai Shenker, Vice President of Product Management and Gina Cerami, Vice President of Marketing from Connotate, will then present proof of business value and results with real-world examples.
Topics include:
* When and why, in these challenging economic times, more and more companies are shifting to automation of data collection
* How automated solutions work and where they fit in the technical environment
* How a worldwide leader of news and business information improved the value of its newswire and risk & compliance services by automating web-based data collection and monitoring processes
* Five key considerations when choosing an automated solution
This is a can’t-miss webinar for data and content professionals, business managers, and IT staff who need to know how to address challenges and create competitive advantage in today’s fast-paced publishing and business intelligence environments.
This free webinar is hosted by Outsell’s Gilbane Services and sponsored by Connotate – the leading provider of solutions that help business users automate the collection and monitoring of web-based data quickly, accurately and at a fraction of the cost.
Décès du fondateur du projet Gutenberg : dédiez un document au domaine public pour honorer sa mémoire
"Michael Stern Hart was born in Tacoma, Washington on March 8, 1947. He died on September 6, 2011 in his home in Urbana, Illinois, at the age of 64.
Hart was best known for his 1971 invention of electronic books, or eBooks. He founded Project Gutenberg, which is recognized as one of the earliest and longest-lasting online literary projects.
(...)
This obituary is granted to the public domain by its author, Dr. Gregory B. Newby."
Texte complet
La Dépêche du GFII
La Commission européenne publiera fin 2011 une Communication sur l'accès à et la préservation de l'information scientifique
L’information : La Commission européenne a annoncé son intention de publier fin 2011 une Communication et une Recommandation sur l'accès et la préservation de l'information scientifique numérique. En préalable à la publication de cette recommandation, la Commission a lancé le 15 juillet une consultation en ligne (1) qui sera close ce vendredi 9 septembre. Par ses demandes très orientées, le questionnaire semble préfigurer une recommandation européenne officielle en faveur du libre accès (Open Access). L'ALPSP (Association of Learned and Professionnal Society Publishing, www.alpsp.org) invite ses membres à répondre à cette consultation en contrant l’idée que le libre accès à des articles ou des données serait la contrepartie du financement public de la recherche.
L’analyse de la Dépêche : le débat sur le libre-accès à l’information scientifique, naguère encore si conflictuel, est-il encore d’actualité ? On pourrait le croire en prenant connaissance de la proposition de réponse de l’ALPSP à la consultation européenne. L’association d’éditeurs, au détour d’une question sur les possibles formes d’action de l’Union Européenne dans le champ de l’information scientifique, dénie frontalement (« disagree ») toute légitimité d’une action de l’Europe dans ce domaine : ni la définition d’une politique de niveau européen pour l’accès et la préservation de l’information scientifique, ni l’hypothèse d’une coordination par les institutions européennes des politiques nationales en la matière, ni un simple soutien à la mise en place d’un réseau européen d’archives ouvertes ne trouvent grâce à ses yeux. A juste titre les responsables de l’ALPSP soulignent la confusion faite dans cette consultation entre d’une part l’accès aux publications scientifiques (articles parus dans des revues « peer reviewed ») et d’autre part l’accès aux données scientifiques (« datasets ») issues des recherches financées sur fonds publics. Mais dans un cas comme dans l’autre l’ALPSP souligne qu’il ne doit pas y avoir d’automaticité de la relation entre financement public de la recherche et libre accès aux résultats de cette recherche. Avec un raisonnement simple : pour les éditeurs l’effort éditorial (sélection, mise en forme, production de métadonnées...) doit être rémunéré puisque sans la valeur ajoutée éditoriale, le flux « spontané » de publications et de données serait inexploitable. A juste titre aussi, l’ALPSP relève que le questionnaire européen apparait un peu biaisé, ses formulations laissant à penser qu’il a été rédigé par de chauds partisans de l’Open Access. On remarquera pourtant que 2011 aura vu le débat sur l’Open Access prendre un tour plus consensuel. En janvier dernier étaient présentées lors d’un symposium à Berlin les conclusions de l’étude SOAP (Study on Open Access Publishing, http://project-soap.eu/soap-symposium) qui sur une large base statistique (environ 50 000 réponses de chercheur traitées) prenait la mesure des comportements et des attitudes des chercheurs sur la question de l'Open Access. En avril dernier a été publiée sous l'égide du Publishers Research Consortium (PRC, une émanation de l'association STM qui regroupe au plan mondial les éditeurs scientifiques) une étude qui marquait un net rapprochement entre le point de vue des éditeurs et celui des tenants de l'Open Access. Le débat sur l'Open Access a été jalonné de nombreuses études, mais celles-ci jusqu'à la synthèse d'avril relevaient de deux courants antagonistes : 1) les études menées par des agences de financement de la recherche (i.e. le Welcome Trust) ou des organismes publics d'appui à la recherche (les britanniques au travers du JISC et du RIN ayant fait un effort remarquable en la matière) ; 2) des études conduites par les éditeurs (au travers du PRC) qui généralement prenaient le contrepied des précédentes. L'étude publiée en avril dernier (2) voyait pour la première fois converger ces deux courants, les organismes impliqués dans les études antérieures réunissant leurs efforts pour aboutir (dans un espace restreint, celui de la recherche publique britannique) à une modélisation de différents scénarios d'évolution des politiques publiques en matière d'accès à l'information scientifique. En simplifiant à l'extrême, cette étude mettait en avant le fait qu'un appui des pouvoirs publics à l'Open Access « Gold » (modèle économique fondé sur le paiement par le chercheur publiant de frais de publication) semblait être le scénario présentant le maximum d'avantages et le meilleur rapport coûts/bénéfices). On n'est donc pas trop surpris de voir que la réponse de l'ALPSP à la consultation européenne met elle aussi en avant le scénario du développement du modèle « auteur-payeur » comme le meilleur du point de vue des éditeurs. Alors qu'il y a encore quelques années le modèle « Gold » était perçu par les éditeurs comme une menace. C'est qu'avec le recul les éditeurs scientifiques sont arrivés à la conclusion que ce modèle était le seul qui pour eux présentait d'intéressantes réserves de croissance sans fragiliser leur propre business-model. Les éditeurs ont vérifié dans leurs comptes que l'impact économique du mouvement en faveur de l'Open Access était négligeable. Ces mêmes éditeurs ont constaté que le seul vrai facteur de risque pour leur business model était la stagnation ou l'érosion des budgets des bibliothèques de recherches, qui dans le meilleur des cas leur laissent entrevoir une croissance nulle et des marges sous pression. Par contraste avec la dépense documentaire, la dépense de R&D apparaît moins fragile (même si demain les plans de rigueur nationaux pourraient casser la dynamique des crédits de R&D). Un modèle de Gold Open Access (« auteur-payeur) en s’enracinant directement dans les crédits de recherche (pour lesquels ils représenteraient un surcoût de 1 à 1,5% attribuable à une ligne « communication des résultats de la recherche ») serait moins dépendant des restrictions de crédits. Des éditeurs comme Springer (soit en direct, soit au travers de sa filiale Biomed Central) ou SAGE (qui a racheté il y a quelques années l’éditeur OA Hindawi) sont depuis plusieurs années engagés dans le développement d’une offre de Gold Open Access coexistant avec leur offre traditionnelle.
Liens :
(1)http://ec.europa.eu/research/consultations/scientific_information/consultation_en.htm
(2)http://www.publishingresearch.net/documents/RINHeadingforopenroadDynamicsoftransition.pdf
(2)http://www.publishingresearch.net/documents/RINHeadingforopenroadDynamicsoftransition.pdf
Bibliographie sur les archives institutionnelles
mardi 6 septembre 2011 , par Thérèse Hameau
Charles W. Bailey met en ligne une bibliographie consacrée aux archives institutionnelles et aux thèses électroniques : Institutional Repository and ETD Bibliography 2011. Elle propose plus de 600 articles, ouvrages, rapports techniques et autres documents, en langue anglaise. Sont abordés notamment les archives institutionnelles nationales et régionales, les archives multiinstitutionnelles, les politiques institutionnelles, les projets et les métadonnées
CST :
Colloque "Communiquer la science vers les publics scolaires"
Institut Pasteur à Paris le mercredi 21 septembre 2011.
Ce colloque placé sous l'égide de Communication Publique bénéficie du soutien du Ministère de l'éducation nationale de la jeunesse et de la vie associative.
Le Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche apporte lui aussi son soutien et son patronage.
L'originalité de ce colloque est d'être piloté directement par les organismes de recherche qui cherche les meilleures voies pour relier sciences et scolaires.
LIVRES :
L'Ouvert :
Enseignement des mathématiquues
Lien entre l'enseignement secondaire des Mathématiques et l'Université, L'Ouvert propose à ses lecteurs : des articles sur les recherches récentes ; des textes sur l'histoire des mathématiques ; des synthèses sur les questions didactiques ; des comptes rendus d'activités et d'expérimentations avec les élèves ; des problèmes pour stimuler le plaisir de chercher ; des informations sur l'enseignement des mathématiques en Europe ; des nouvelles des groupes de l'IREM et le point sur leurs recherches.
ISSN : 0290-0068
Langue : Français
Format : Pdf, Php
Catégorie : 300 Sciences sociales
L'égalité des chances en Angleterre
par Jules Donzelot [06-09-2011]
Domaine(s) : Société
Mots-clés : université | égalité | Grande-Bretagne
Alors que prend fin le programme d'égalité des chances Aimhigher, créé par le New Labour en 1999 afin de démocratiser l'enseignement supérieur, le gouvernement de David Cameron a annoncé la création de « contrats d'équité », tout en autorisant l'augmentation des frais d'inscription universitaires. L'avenir de l'égalité des chances en Angleterre repose maintenant en grande partie sur la volonté des universités.
DIVERS :
06 septembre 2011
COPISTE - Macé-Scaron maintenant accusé d'avoir plagié des articles
Axel Springer va éditer un trimestriel en chinois à Genève
L'éditeur Axel Springer Genève a annoncé lundi 5 septembre le lancement d'un trimestriel touristique et horloger en chinois. Ce magazine gratuit, tiré à 20 000 exemplaires, est destiné aux touristes chinois visitant la Suisse (400 000 cette année), qui représentent à eux seuls 30% des ventes horlogères en Suisse, soit un chiffre d'affaires de plus d'un milliard de francs suisses (900 millions d'euros) pour les boutiques d'horlogerie. La première parution est prévue cet automne. Ce magazine sera disponible à l'aéroport de Genève, dans les hôtels, les restaurants, les boutiques et les trains touristiques. La rédaction, la régie publicitaire et la distribution seront contrôlées depuis la Suisse, tandis que la traduction, la mise en pages et l'édition se feront en Chine.
source 13h@e.strategies.fr
2 septembre 2011
Classement des universités sur Twitter : septembre 2011
À l’occasion de la parution du dernier numéro de la revue Géoéconomie :
« Cinéma : le déclin de l’empire américain ? » (N°58, Été 2011), l’Institut Choiseul a le plaisir de vous inviter à la conférence :
S'inscrire en remplissant le formulaire
LES NOUVELLES BATAILLES DU CINÉMA
Enjeux politiques, économiques et culturels
Jeudi 15 septembre 2011, de 18h30 à 20h30, aux MINES Paris Tech,
60, boulevard Saint Michel, 75006 Paris
Modérateur :
Didier LUCAS, Directeur de l’Institut Choiseul et rédacteur en chef de la revue Géoéconomie
Intervenants : Manuel ALDUY, Directeur du Cinéma, Canal +
Olivier BOMSEL, Directeur de la chaire d’économie des médias et des marques, MINES Paris Tech
Monique DAGNAUD, Directrice de recherches, CNRS
Thierry FRÉMAUX (TBC), Délégué général, Festival de Cannes
Régine HATCHONDO, Directrice générale, UniFrance
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