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mercredi 22 février 2012

Veille 22 février 2012






NTIC :

Microsoft lancera Office sur iPad très prochainement
le 21/02/12 Pierre Fontaine 01net
En 2011, The Daily, le journal d’information sur iPad de Rupert Murdoch, avait révélé que Microsoft travaillait à une adaptation pour la tablette d’Apple de sa célèbre suite bureautique. Dernièrement, des journalistes du quotidien ont, apparemment, eu entre les mains une version bêta d’Office, qui inclurait les trois piliers habituels que sont Word, Excel et PowerPoint, auxquels s’ajoute Messenger.
L’interface serait proche de l’interface Metro, présente dans Windows Phone 7 ainsi que dans la Xbox 360 et qui fera sa grande entrée dans le monde avec Windows 8.

Le Premier ministre publie une nouvelle charte pour les sites internet de l'Etat et des services déconcentrés. Il impose un agrément préalable du SIG pour tout nouveau site public (pdf)
Fruit du rapport Riester, cette circulaire du 16 février 2012concerne à la fois les sites web, mais aussi les applications mobiles ou web qui sont développées....
Au delà des services de l'Etat, elle s'adresse à tous les services déconcentrés en région ou dans les départements.


SCIENCES ET SOCIÉTÉ : 

Questions numériques 2012-2012, le temps des ruptures (1/2) : Secessions territoriales
22 février 2012 Internet Actu
Pour la seconde année consécutive, la Fondation internet nouvelle génération (éditeur d’InternetActu) vient de publier son cahier d’enjeux : Questions numériques. A partir des travaux de la Fing, l’équipe a produit 19 scénarios de ruptures pour se préparer à demain, comprendre ce qu’il se passe à l’intersection des transformations sociales, des changements économiques et des ruptures technologiques. Les membres de la Fing ont choisi 7 scénarios pour les travailler plus avant, les rendre plus plausibles, plus accessibles au débat. Ce sont ces 7 scénarios que présentaient Daniel Kaplan, délégué général de la Fing et Jacques-François Marchandise son directeur du développement le 15 février à la Gaîté Lyrique.


IST : 

Dépêche n°162564 de l'AEF (relayée par l'AMUE)
Paris, mercredi 15 février 2012, 17:34:38
Elsevier : plus de 6 000 chercheurs boycottent l'éditeur scientifique en réaction à ses « pratiques commerciales »
À télécharger Déclaration conjointe de 34mathématiciens sur Elsevier, février 2012 AEF n° 5763 du mercredi 15 février 2012
Ce sont 6 030 chercheurs qui déclarent boycotter l'éditeur scientifique Elsevier, dont le siège est à Amsterdam (Pays-Bas), selon les chiffres publiés mercredi 15 février 2012 sur le site « The cost of knowledge » (« Le coût de la connaissance »), qui recense « les chercheurs qui prennent position contre Elsevier ». Chacun d'eux y inscrit en ligne son intention de ne plus publier et/ou de ne plus être membre ou rapporteur du comité éditorial des revues de cet éditeur. Sur la page d'accueil du site, les signataires résument leurs motivations : coût « exorbitant » des abonnements, bibliothèques contraintes aux abonnements « par paquets », lesquels « comprennent de nombreuses revues dont en réalité elles ne veulent pas », Elsevier « réalisant ainsi d'immenses profits en exploitant le fait que certaines de ses publications sont incontournables ». Enfin, les chercheurs soulignent le fait que l'éditeur « soutient des mesures telles que Sopa (Stop Online Piracy Act [1]), Pipa (Protect Intellectual Property Act) et le Research Works Act, qui ont pour but de restreindre le libre échange de l'information ». 
Parmi les signataires, comme le souligne le quotidien américain New York Times le 13 février 2012, figurent Ingrid Daubechies, la présidente de l'IMU (International Mathematical Union), et trois médailles Fields : Timothy Gowers, Terrance Tao et Wendelin Werner. Le premier cité, mathématicien à l'université de Cambridge, a publié sur son blog, le 21 janvier 2012, un billet intitulé « ma participation à la chute d'Elsevier » (« Elsevier, my part in its downfall »), dans lequel il rend public son propre boycott de la maison d'édition : « Je ne vais pas me contenter de refuser d'avoir quoi que ce soit à faire avec les publications d'Elsevier à partir de maintenant, mais je le dis publiquement. Je ne suis en aucune façon la première personne à agir ainsi, mais plus nous sommes nombreux, plus cela devient socialement acceptable. Voilà la principale raison pour laquelle j'écris ce billet. » D'après le quotidien new-yorkais, c'est à partir de ce texte « que la protestation est née ».
« AUCUN CHANGEMENT NE SERA FACILE MAIS LE STATU QUO EST INACCEPTABLE »
Début février, rappelle également le quotidien, trente-quatre mathématiciens (dont plusieurs français) ont signé une déclaration qui détaille les raisons du boycott et « présente certaines des problématiques auxquelles est confronté le mouvement ». « Sans surprise, au cours des dernières années, de nombreux mathématiciens ont perdu patience, impliqués dans un système dans lequel des éditeurs commerciaux font des profits basés sur le travail bénévole de mathématiciens et les frais d'abonnement des bilbiothèques de leurs institutions, pour un service devenu en grande partie non nécessaire », notent-ils. « Parmi tous les éditeurs commerciaux, le comportement d'Elsevier a semblé à beaucoup le plus nuisible, et de nombreux mathématiciens se sont personnellement engagés à éviter toute implication dans les revues d'Elsevier. »
Dans leur déclaration, les mathématiciens détaillent les différences de vues des chercheurs qui se sont joints au mouvement quant aux « objectifs du boycott, à court et à long terme », lesquels, rappellent-ils, « ne s'excluent pas les uns les autres : le monde des revues mathématiques, comme le monde des mathématiques elles-mêmes, est vaste, et des revues en accès libre peuvent cohabiter avec des revues traditionnelles, aussi bien qu'avec d'autres moyens de diffusion et d'évaluation plus nouveaux ». « Aucun de ces changements ne sera facile, éditer une revue est un travail difficile, trouver une nouvelle revue, changer ou relancer une revue existante l'est encore plus », soulignent-ils. « Mais l'alternative est de continuer avec le statu quo, dans lequel Elsevier récolte des profits toujours plus importants à partir de notre travail et de celui de nos collègues, ce qui est à la fois insupportable et inacceptable. »
ELSEVIER SE DIT « FIER » DE SA « CONTRIBUTION À LA SCIENCE »
Le 3 février 2012, la maison d'édition Elsevier publie sur son site un communiqué intitulé « message à la communauté des chercheurs : Elsevier, le prix des revues, le discount et l'accès [à l'information] », dans lequel elle explique « porter une très grande attention aux voix qui s'élèvent dans la communauté scientifique qu'[elle] sert, y compris à ceux qui ont répondu à une pétition en ligne qui met en avant de graves jugements négatifs contre Elsevier ». L'éditeur, qui revendique 600 000 auteurs, s'y déclare « fier de la façon dont [il] est capable de travailler en partenariat avec la communauté scientifique pour produire une contribution à la science, réelle et durable ».
(1) Le Sopa (Stop Online Piracy Act) est un projet de loi proposé à la Chambre des représentants des États-Unis le 26 octobre 2011 qui vise à élargir les capacités d'application du droit d'auteur et des ayants droit pour lutter contre sa violation en ligne et les contrefaçons. Pipa (Protect Intellectual Property Act) est son équivalent au Sénat américain. Enfin le Research work act est un projet de loi américain dont certaines clauses visent à interdire le libre accès aux publications scientifiques (open access mandate) financées par l'État.
À télécharger 

We have a problem
23 février 2012 Who needs acces
Our governments spend millions on funding research. Scientists do the work, write up their results as papers, format the manuscripts, prepare figures, and send them to publishers. Other scientists handle editing for the publishers (unpaid). Yet other scientists review the manuscripts for the editor (also unpaid). The result of all this is a honed and polished research paper. But all too often the publisher demands the copyright, and locks the research behind a paywall. (Needless to say, they don’t pay the author, either.)

Les résultats 2011 de Wolters Kluwer reflètent la faible croissance des marchés de l’information professionnelle
Créé par Michel Vajou 22 février 2012 Info GFII (amico)
L’information : Wolters Kluwer présente aujourd’hui ses résultats pour l’exercice 2011. Comme ceux publiés il y a quelques jours par Reed Elsevier, ils reflètent à la fois une croissance très faible du chiffre d’affaires, mais aussi le maintien d’une bonne rentabilité. Wolters Kluwer a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires consolidé de 3 354 M€, en croissance de 1% (tant en données comptables qu’en croissance organique). Les effets de change pénalisent légèrement la croissance affichée, puisque hors effets de change la croissance des revenus serait de 4%. Mesurée au niveau de l’EBITA (1) la rentabilité est de 21,7% sur CA, stable. Les produits et services électroniques génèrent 71% des revenus (contre 68% en 2010). A l’exception de l’édition juridique qui voit ses résultats baisser, toutes les divisions affichent une croissance organique faible mais positive.
L’analyse de la Dépêche : Les résultats 2011 des grands groupes internationaux de l’information professionnelle dessinent une nette hiérarchie : Thomson Reuters occupe solidement la première place du podium (avec un CA de 10,4 Md. €) ; Reed Elsevier avec 6,9 Md. € de revenus est désormais un N°2 nettement distancé par Thomson ; enfin Wolters-Kluwer avec 3,35 Md. € de CA 2011 occupe la troisième place mais apparait comme un groupe de taille moyenne. Comme pour ses deux grands rivaux la rentabilité de WK est bonne et progresse légèrement.
La division Legal & Regulatory, qui rassemble les activités d’édition juridique a enregistré l’an dernier des revenus de 1 451 M€, en baisse de 1% tant en croissance organique qu’en termes comptables (mais l’impact des effets de change est négatif, d’environ 4 points). Cette division est très nettement la première contributrice au CA consolidé (43,2% de celui-ci) et à la marge (44,5% de celle-ci). Le taux de marge opérationnelle, à 22,4% du CA de la division reste bon. Les résultats de ces activités « Legal & Regulatory » reflètent une divergence entre les marchés américains (qui pèsent 36% des revenus de la division) qui affichent 3% de croissance organique et le marché européen, qui lui affiche une baisse de 3% de son chiffre d’affaires.
La division « Tax & Accounting » (information pour les professions fiscales et comptables) affiche des revenus de 931 M€, en croissance organique de 2% (et de 1% en termes comptables). Cette division représente 24,9 % du CA consolidé du groupe et 35,4% du bénéfice opérationnel. La rentabilité est bonne (27,7% sur CA, mesurée au niveau de l’EBITA), en ligne avec les performances globales de WK. Les marchés d’Amérique du nord génèrent 55% des revenus de cette division, et enregistrent une croissance organique de 2% ; là aussi l’Europe (1% de croissance organique) fait moins bien que les Etats-Unis. La croissance des activités « Tax & Accounting » est entièrement générée par les produits et services électroniques (+4%), les produits imprimés enregistrant une baisse de 9% de leurs revenus.
Wolters Kluwer Health, qui rassemble les activités d’information médicale a affiché l’an dernier un CA de 639 M€ et un bénéfice opérationnel de 126 M€. Soit 17,9% du CA consolidé de WK et 17% de son bénéfice opérationnel. Le taux de marge opérationnelle (19,7% sur CA) est un peu inférieur à ce qu’il est au niveau du groupe dans son ensemble. Cette division a connu fin 2011 une évolution majeure puisque la sous-division « Pharma » a été mise en vente, et qu’une première cession des activités « Marketing & Publishing Services » à Springer a été finalisée en décembre 2011. Sur ce segment, l’acquisition récente de l’éditeur Open Access indien Medknow ou, en avril dernier, celle du fournisseur américain de données sur les médicaments Lexicomp montrent l’intérêt de Wolters Kluwer pour l’information biomédicale. Ovid, la principale marque de WK dans l’information scientifique biomédicale enregistre une croissance organique de 6%. La croissance de WK Health est la résultante d’une forte progression des services en ligne (+15%) et d’un tassement tout aussi net des revenus générés par les produits imprimés (-12%). La division Health est clairement perçue comme l’un des moteurs de la croissance du groupe, puisque sur certains segments d’activité (les outils d’aide au diagnostic par exemple) WK enregistre une progression à deux chiffres.
Quatrième pôle du portefeuille d’activités, la division « Financial & Compliance Services » a généré l’an dernier 333 M€ de chiffre d’affaires et 64 M€ de bénéfice opérationnel, soit respectivement 10% du CA consolidé et 8,8% de son EBITA. Avec des revenus en hausse de 9% dont 2% de croissance organique cette division d’information et de services pour les professions financières au sein des banques et des entreprises (WK ne sert pas le marché des traders et des salles de marché) est elle aussi un moteur de croissance. Mesurée au niveau de l’EBITA, le taux de rentabilité de la division est bon (19,1% du CA) mais inférieur à la performance globale du groupe.
En marge de la présentation de ces résultats, Wolters Kluwer a annoncé un programme de 100 M€ de rachat de ses propres actions, ce qui est un moyen de soutenir son cours de bourse (qui progresse faiblement ce matin). Sur les 5 dernières années, le titre Wolters Kluwer a perdu 33% et la capitalisation boursière est aujourd’hui de 4,23 Md. €.
(1) Earning before interests, tax and amortization

Projet de Système de Gestion de Bibliothèque mutualisé : point d’étape.
Mar 21 Fév 2012 Fil ABES
La mise en place d’un système de gestion mutualisé constitue un des axes du projet d’établissement 2012-2015 de l’ABES.
La logique fondant cette démarche a d’abord été économique : plusieurs établissements envisageant de remplacer leur SIGB, il leur est apparu économiquement et fonctionnellement cohérent de se regrouper pour ce type d’acquisition afin d’obtenir de meilleurs conditions des fournisseurs. L’ABES, qui a pour mission de proposer des solutions mutualisées aux établissements pour la gestion de leur documentation, est alors apparue comme pouvant jouer un rôle dans le portage de ce projet.
Entre temps, les systèmes hébergés de nouvelle génération sont arrivés sur le marché et ont commencé à proposer une alternative crédible aux SIGB traditionnels. Cette perspective a donné une ampleur différente au projet par son impact sur l’organisation du signalement au niveau local comme au niveau national.
L’ABES a engagé dès 2011 une réflexion en ce sens (cf Fil’ABES de septembre 2011) :
lors d’un séminaire interne puis d’un atelier ouvert aux établissements du réseau Sudoc ;
en participant aux travaux d’un groupe technique piloté par le PRES de Toulouse pour la préparation d’un cahier des charges collectif ;
en commandant à un groupe d’élèves conservateurs de l’ENSSIB des scénarios d’articulation des solutions de nouvelle génération avec le Sudoc.


BIBLIOTHÈQUES NUMÉRIQUES : 

Publication d'une nouvelle étude d'ebrary : Global student ebook survey
via Ruth Martine 21 février 2012Info GFII (amico)
ebrary, a ProQuest business, has announced that the social media data of its 2011 Global Student E-book Survey is now publicly available at http://site.ebrary.com/lib/surveys along with the full report. More than 6,500 students worldwide participated in the survey, which was very similar to a 2008 survey created by librarians.


VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE : 

Etude des risques et opportunités liés à l’e-réputation des entreprises - CIGREF  (Abonnés)
Créé par Ludovic Bour 21 février 2012  Info GFII (amico)
Le CIGREF - réseau des grandes Entreprises dont les nouvelles orientations stratégiques donnent pour mission de "promouvoir la culture numérique comme source d'innovation et de performance", vient de publier une nouvelle étude sur la e-réputation.
Référence est faite à notre étude GFII de 2010.
L'étude du CIGREF propose une grille de lecture qui croise 2 niveaux d'analyse :
- les typologies d'atteinte à la e-réputation
- 7 familles de risques numériques identifiées et analysées dans le rapport du CIGREF de 2011 (stratégique, éthique et juridique, lié au contrôle des SI, lié au RH, marketing, lié à la dématérialisation des rapports humains, périphérique)
Le tout est illustré de bonnes pratiques
Voir l'étude du CIGREF sur Calaméo

Réutilisation de l’info publique : le GFII avance 7 propositions
le 21 février 2012 L'intelligence économique en quelques clics
Les services publics du monde entier collectent une quantité considérable d’informations sur les personnes, les entreprises, les territoires, les objets, etc. Qu’il s’agisse d’informations juridiques, géographiques, scientifiques ou culturelles, celles-ci sont traitées, documentées, digitalisées, reproduites, et mises à disposition par ces services publiques à d’autres services publics, mais également des citoyens, des entreprises. En ce sens, les informations publiques constituent une véritable opportunité pour la conception de produits et services à valeur ajoutée.

L'APIEC conçoit l'intelligence économique et concurrentielle comme l'agrégation de thèmes et d'outillages variés, comme la Business Intelligence, la sécurité du patrimoine et des personnes, l'ingénierie sociale, la géopolitique ou l'utilisation ciblée de moyens de communication. Sont également concernés les outils liés au marketing (comme le benchmarking), l'influence, les réseaux sémantiques, le droit et les matières connexes (comme la lutte contre la fraude, les abus de marché et le blanchiment d'argent ou la protection de la propriété industrielle), ainsi que les moyens de protection de l'information (ainsi de la cryptographie ou de la stéganographie)…


PÔLES de COMPÉTITIVITÉ, PÔLES d'EXCELLENCE :

Telecoms - 21/02/2012
A l'occasion de la 10ème Journée nationale des pôles de compétitivité, qui s'est tenue à Bercy le 26 janvier dernier, Eric Besson, ministre délégué à l'industrie et à l'économie numérique, a lancé une deuxième évaluation des pôles de compétitivité. Eric Besson a très nettement souligné l'enjeu : «J'attends beaucoup de cette évaluation et nous serons particulièrement attentifs aux recommandations formulées par les évaluateurs... L'évaluation permettra d'éclairer le Gouvernement. Elle pourra conduire à envisager des « délabellisations » et à élaborer les contours d'une future phase 3.»
Il s'agit clairement de hisser les pôles à un niveau européen, donc de les rendre plus importants en taille et en performance. Le message est limpide. L'évaluation permettra d'appuyer ce message auprès des responsables des pôles.


CST : 

20 février 2012 Connaissance des énergies
Définition
Les prix à la pompe de l’essence et du gazole sont déterminés en fonction du coût du pétrole brut, des coûts de production et de distribution du carburant mais aussi des taxes spécifiques auxquels ils sont soumis.
Ces taxes sont très variables d’un pays à l’autre et sont responsables en grande partie des écarts de prix entre les pays.

22 février 2012 Espaces réflexifs
Cycle de conférences intitulé “La vulgarisation scientifique : une mode ? une nécessité ? une illusion ?”
“Communication scientifique et réflexivité”
le 23 mars 2009 par Baudouin Jurdant
Résumé de l’intervention
Le fonctionnement communicationnel des communautés scientifiques présente un paradoxe intéressant : autant les scientifiques se révèlent excellents communicateurs entre eux à l’intérieur d’un même paradigme, autant leurs tentatives de communiquer leurs résultats à des non-spécialistes rencontrent des problèmes si difficiles à résoudre que, bien souvent, ils se découragent et montrent alors une tendance à se replier sur eux-mêmes, nourrissant par là le mythe de la tour d’ivoire.


COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :

Séminaire OASIE au CNAM, Paris (28/ 03/2012)
Le séminaire OASIE: Open Access, Services, Interdisciplinarité et Expertise se tiendra au CNAM (Paris 3e) le 28 mars (9h00-17h30)
. Il est organisé par Ghislaine Chartron, Hans Dillaerts et Emma Bester du laboratoire DICEN (Dispositifs d'information et de communication à l'ère numérique).
Ce séminaire interroge deux dimensions particulières du mouvement du Libre Accès: d’une part le lien entre ces ressources en libre accès et l’interdisciplinarité dans les pratiques de recherche et, d’autre part, la mise en visibilité des chercheurs et de leurs domaines d’expertise par le biais des archives ouvertes.
C'est un séminaire de recherche ouvert aux étudiants, enseignants-chercheurs et professionnels de l'information.
Programme complet
Le libre accès aux publications scientifiques est un mouvement enclenché depuis plus de 20 ans, il se traduit notamment aujourd’hui par le développement d’archives ouvertes (de type HAL pour la France) où sont engrangées les publications des chercheurs, d’autres modalités de libre accès sont aussi possibles : revues financées en amont, revues en accès libre après un certain délai, revues financées selon un modèle freemium, revues hybrides ...".
Ce séminaire interroge deux dimensions particulières de ce mouvement : d’une part le lien entre ces ressources en libre accès et l’interdisciplinarité dans les pratiques de recherche et, d’autre part, la mise en visibilité des chercheurs et de leurs domaines d’expertise par le biais des archives ouvertes.
Développement de l’interdisciplinarité ? Le développement des plateformes en libre accès favorise un accès ouvert à la littérature scientifique. Cet accès plus facile aux connaissances et à l'information scientifique est-il un facteur positif pour le développement des pratiques de recherche interdisciplinaires? De façon plus large, quel est l'impact des TIC et des plateformes éditoriales pluridisciplinaires sur la posture pluridisciplinaire et interdisciplinaire du chercheur?
Renouvellement de l’expertise scientifique ? Les archives ouvertes sont devenues des dispositifs significatifs de la communication scientifique et des politiques de mandat obligatoire se développent par exemple en Europe avec le projet OpenAire. Ces dispositifs sont au cœur des problématiques d’évaluation et de valorisation de l’information scientifique. Dans quelle mesure favorisent-ils aujourd’hui le repérage de l’expertise scientifique ? Quel est l’apport spécifique des archives ouvertes alors même que les services numériques de mise en visibilité des chercheurs se multiplient (e.g. réseaux socionumériques, banques d’experts, portefolios...) ?

The Bibliothèque nationale de France, the IFLA Newspaper Section and the IFLA PAC Core Activity will organize the IFLA International Newspaper Conference 2012 in Paris
Bibliothèque nationale de France, Grand Auditorium
Quai François Mauriac, Paris
11-13 April 2012
Newspaper Digitization and Preservation: New Prospects.
Stakeholders, Practices, Users and Business Models
After New Delhi (2010) and Kuala Lumpur (2011), the next IFLA International Newspaper Conference will be held in Paris, at the Bibliothèque nationale de France, April 11-13, 2012. The Conference will take place during a major exhibition dedicated to the “History of the Newspapers in France” at the BnF. 
The National Library of France (currently involved in a large scale newspaper digitization programme) and the IFLA Preservation and Conservation Core Activity (PAC, hosted by the BnF) are co-organizers of the event. The Conference aims to assess major ongoing mass digitization projects in Europe and throughout the world, undertaken by libraries, archives, newspaper publishers, and content aggregators. In addition to digitization projects, conference topics are: general digitization policies, web harvesting, legal deposit, editorial strategies, issues linked to long-term digital and physical preservation, new devices for access and distribution of digital content, as well as new and old business models.
.

LIRE : 
23 février 2012 revues.org
Parution du n° 366 (2011).
23 février 2012 revues.org
Parution du vol. 27-n° 2 (2011).





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