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vendredi 17 février 2012

Veille 17 février 2012



NTIC :


16 février 2012 Presse citron
Google est tellement entré dans notre vie que nous l’utilisons machinalement plusieurs dizaines de fois par jour. Mais combien sommes-nous à en exploiter vraiment toutes les possibilités, et même à seulement les connaître ? 

Publiée par Guillaume Belfiore le Vendredi 17 Fevrier 2012 Clubic
Dans une prochaine version du navigateur Chrome, Google proposera de générer automatiquement des mots de passe sécurisés sans que l'utilisateur n'ait à retenir ceux-ci.
Dans quelques années, un site web vous demandera probablement de vous authentifiez en scannant l'iris de votre oeil via la webcam ou en calculant votre rythme cardiaque. En attendant Google compte renforcer l'identification classique qui consiste à entrer un nom d'utilisateur et un mot de passe.
Concrètement, l'équipe de développement travaille sur un mécanisme capable de détecter les pages web proposant la création d'un compte. Pour ce faire, le navigateur devra être capable de repérer les différents champs au sein du code HTML et d'identifier ceux invitant l'internaute à entrer un mot de passe puis à confirmer celui-ci. Chrome ouvrira alors une petite fenêtre générant un mot de passe jugé sécurisé, c'est-à-dire en mélangeant lettres, chiffres, caractères spéciaux et différentes casses.


SCIENCES ET SOCIÉTÉ : 

17 février 2012 PC INpact
La CNIL veut mettre au grand jour d’éventuelles violations de la loi de 1978 chez Amazon France. Elle a décidé de lancer un contrôle sur le site de e-commerce. Selon l’Express, il s’agira de vérifier la durée de conservation des données personnelles des acheteurs, mais également le système de paiement, One Click. 

LEMONDE.FR avec AFP | 17.02.12
Le groupe Internet Google a espionné les internautes naviguant sur le Web à l'aide de Safari, le navigateur d'Apple, accuse jeudi le Wall Street Journal, indiquant que cette pratique venait de cesser. Selon le Washington Post, Google aurait utilisé une astuce de programmation pour imposer aux utilisateurs de Safari, le navigateur d'Apple, l'ajout de cookies, de petits fichiers qui permettent d'enregistrer des informations de navigation. Une fois contacté par le WSJ, Google a désactivé cette fonction, a affirmé le journal.

Publié le 16/02/2012 Le Journal du net
Mettre en place un système de filtrage pour protéger les droits d'auteurs sur un réseau social irait à l'encontre de la liberté des utilisateurs de ce même réseau.
On ne peut pas obliger un réseau social à mettre en place un système de filtrage visant l'ensemble de ses utilisateurs, dans le but de prévenir les transmissions illégales d'œuvres audiovisuelles ou musicales. C'est le principal enseignement à retirer de la décision émise par la Cour européenne de justice (Cuej) dans le différend qui oppose la Société belge des auteurs compositeurs (Sabam), l'équivalent belge de la Sacem, au réseau social Netlog. Un arrêt qui vient confirmer le jugement rendu par cette même cour, en novembre 2011, établissant qu'ordonner à un fournisseur d'accès à internet la mise en place d'un système de filtrage et de blocage des communications électroniques afin de protéger les droits de propriété intellectuelle est contraire au droit européen. Le litige opposait alors la Sabam au FAI, Scarlet Extended (Lire l'article, "La justice européenne condamne l'usage du web par les FAI", du 25/11/2011).

17 février 2012 VIpad
Si je vous dis que le dernier médecin que je suis allé voir avait un minitel en état de marche, vous ne voudrez pas me croire. Pourtant c’est bel et bien vrai.
A l’inverse, une étude à montré sur un échantillon de 1207 médecin que 26 % d’entre eux utilisent un iPad au quotidien dans leur pratique de la médecine.Visiblement, mon médecin ne fait pas partie de cette nouvelle vague de docteurs connectés. Mais développons un peu ces chiffres :
Menée en Allemagne, en France, en Espagne, en Italie et au Royaume Uni, cette étude avait donc pour but de sonder les médecin sur leur utilisation de l’iPad. 

17 février 2012 La revue du projet
L’accès à la science pour tous était une conception révolutionnaire, elle ébranlait les fondements religieux de la cité, elle a valu à Socrate sa condamnation à mort. Science et société est un thème éternel. Cependant c’est dans les années 1980 qu’il a pris forme avec l’ASTS, l’association science-technologie-société, dont l’initiateur a été René Le Guen. Ainsi, au départ, c’est une vision politique.Cette vision politique s’inscrivait dans l’accès de la gauche au pouvoir. La culture scientifique faisait l’objet d’un programme mobilisateur. Les organismes de recherche se voyaient confier la mission de la répandre. Cependant, dans l’optique des scientifiques, la diffusion de la culture scientifique n’entraînait pas une vision claire de la place de la science dans la société.
Le thème « science et société » dans les congrès scientifiques apparaît à ma connaissance au cours des années 1990. À l’Académie des sciences, le comité « science et société » a été créé en 2000. C’est aujourd’hui, en France et dans tous les pays du monde, un thème important pour les scientifiques : quelle est la place de la science dans la société ? Il est grand temps que cela redevienne un thème important en politique, et en particulier dans la politique communiste.


CNRS : 

En direct des labos

L’équipe de David Farrusseng du laboratoire IRCELYON (CNRS / Université Lyon 1) vient de franchir une première étape dans la synthèse des métalloenzymes artificielles bio-inspirées, plus robustes que les enzymes actuellement utilisées pour le traitement des déchets ou dans des procédés de chimie verte. Un des problèmes reste leur caractérisation à l’échelle moléculaire. Une équipe du Centre de RMN à Hauts Champs (CRMN) de Lyon vient de mettre au point une méthode de RMN révolutionnant la caractérisation de ces matériaux, la DNP ou polarisation dynamique nucléaire, permettant notamment de réaliser des spectres sans enrichissement isotopique et dans des temps record ! Ces travaux font l’objet de deux articles dans les revues Chemical Communications et Angewandte Chemie.

Communiqués de presse

Paris, 16 février 2012
Des chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l'UPMC et de l'AP-HP au sein du Centre de Recherche de l'Institut du Cerveau et de la Moelle (CRICM) de la Pitié-Salpêtrière, viennent de mettre en évidence des mutations à l'origine de la maladie des Des chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l'UPMC et de l'AP-HP au sein du Centre de Recherche de l'Institut du Cerveau et de la Moelle (CRICM) de la Pitié-Salpêtrière, viennent de mettre en évidence des mutations à l'origine de la maladie des mouvements en miroir congénitaux. Les personnes atteintes de cette maladie ont perdu la capacité de réaliser un mouvement différent des deux mains. Grâce au séquençage du génome de plusieurs membres d'une même famille française, le gène RAD51 a été identifié. Des travaux complémentaires menés chez la souris suggèrent qu'il s'agit d'un gène impliqué dans le croisement des voies motrices. Ce croisement est un point clé de transmission des informations cérébrales puisqu'il permet à la partie droite du cerveau de contrôler la partie gauche du corps et inversement. 
Ces travaux sont publiés dans la revue The American Journal of Human Genetics.


IST : 

Ascodocpsy vous propose sa sélection mensuelle d’articles de revues, de textes officiels et de rapports et publications en ligne. Vous pouvez retrouver ces références et d’autres encore dans la base SantéPsy.
Vu dans la base SantéPsy - Février 2012
Article modifié le 14/02/2012
Addiction (PDF – 149.2 ko)
Alzheimer (PDF – 110.6 ko)
Autisme (PDF – 145.3 ko)
Démarche qualité (PDF – 138.4 ko)
Droit (PDF – 153.1 ko)
Ethique (PDF – 124.1 ko)
Formation (PDF – 116.7 ko)
Gérontologie (PDF – 302 ko)
Handicap (PDF – 122.3 ko)
Management (PDF – 116.4 ko)
Médico-social (PDF – 141 ko)
Neurosciences (PDF – 100.4 ko)
Organisation sanitaire (PDF – 144.1 ko)
Pédopsychiatrie (PDF – 147.5 ko)
Pratique du soin (PDF – 156.3 ko)
Profession de santé (PDF – 248.8 ko)
Psychanalyse (PDF – 206.9 ko)
Psychiatrie (PDF – 354.9 ko)
Psychologie (PDF – 168.8 ko)
Psychothérapie (PDF – 336.1 ko)
Sexualité (PDF – 174.4 ko)
Société (PDF – 144.1 ko)
Statut du personnel (PDF – 107.8 ko)
Thérapeutique médicamenteuse (PDF – 138.4 ko)
Tous les thèmes (PDF – 2 Mo)


BIBLIOTHÈQUES NUMÉRIQUES : 

16 février 2012 ZDNet
Juridique - Les deux sites localisés en Irlande qui diffusaient illégalement plus de 400 000 livres électroniques engrangeaient des revenus annuels estimés à 8 millions d’euros.
Si les opérations coup de poing contre les sites de téléchargement illégal de films et de musique font systématiquement les gros titres, les ayants-droit du marché du livre électronique mènent aussi leur guerre contre le piratage.
Une coalition internationale d’éditeurs parmi lesquels des membres de l’Association of American Publishers (AAP) ont obtenu la fermeture des sites library.nu et ifile.it au terme de 7 mois d’enquête dans plusieurs pays. library.nu est accusé d’avoir mis à disposition plus de 400 000 ebooks piratés en s’appuyant sur son service d’hébergement de fichiers ifile.it qui servait aussi à l’échange de films, de musique et de jeux affirme l’AAP dans son communiqué. Les sites étaient localisés en Irlande et leurs opérateurs ont joué au chat et à la souris avec les autorités en masquant leur identité et en usurpant des noms de vraies sociétés.

16 février 2012 Par Stéphane Ipert E-corpus hypothèses
En passant du web premier au web 2.0, nous sommes passé d’une diffusion de l’information hiérarchique dans laquelle l’auteur du site web émettait statiquement et unilatéralement son information aux internautes à une diffusion plus réciproque et dynamique permettant aux usagers d’interagir et de participer à la rédaction de contenus (commentaires, folksonomie, écriture collaborative, wikis, web social…). L’humain, de simple récepteur et lecteur, est entré sur le web en devenant sujet et auteur d’information.
Le web 3.0 et le web de données consistent à permettre aux machines de dialoguer directement ensemble et à mettre en relation des objets et des ressources différentes. Chaque ressource pourra s’interconnecter à une autre pour en récupérer dynamiquement les données. On parle de « libérer les données » enfermées dans des bases de données pour les interconnecter car chaque site sera désormais en mesure d’utiliser les données des autres sites, chaque ressource étant identifiée par son URI. On parle à ce titre de « linked data ». Mais cela nécessite que le contenu du web soit structuré pour pouvoir être interprété et utilisé par d’autres machines qui seront ainsi interconnectées et plus exclusivement par des humains comme c’est actuellement le cas. Une machine qui tire dynamiquement de l’information de multiples autres machines est une machine qui raisonne. On se rapproche ainsi de l’intelligence artificielle. Mais il devrait également être possible, pour les humains, d’accroître considérablement les possibilités des requêtes et des équations de recherche sur les bases bibliographiques et les catalogues de bibliothèques. Les bases de données fonctionneront de plus en plus sur ce modèle. Les bases de données relationnelles avec leurs tables interconnectées seront elles mêmes à leur tour interconnectées, chacune se concentrant sur une partie des données et aucune n’imposant plus la ressaisie de données déjà saisies ailleurs. On peut imaginer, par exemple, qu’au niveau des services de l’Etat, il ne sera plus nécessaire que chaque administration saisisse l’adresse d’un administré, mais qu’une seule en soit chargée et que les autres viennent juste moissonner cette donnée, et que chacune n’ait plus à se concentrer que sur les données originales qu’elle sera susceptible de produire.


VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE : 

Veille technologique internationale

Bulletins Electroniques - Espagne 112 16/02/2012
Nucléaire
Politique scientifique
Energie et développement durable
Astrophysique
Physique
Sante
Agronomie
Mathématiques
Paléontologie
Robotique


Cours Veille Technologique – Semaine 2. JP Gouigoux – MGDIS. 

17 février 2012 Les échos
L’objectif de ce livre blanc est double. D’une part, nous souhaitons vulgariser ces tendances. D’autre part, ce recueil permettra de capter les multiples témoignages d’experts afin de présenter les tendances à venir.


CST : 

2 février 2012 Sébastien Bohler Pour la science
Amateurs de carambars, de malabars ou de chamallows, les mangeurs de sucreries sont peut-être des âmes tendres attirées par le contact social et l'entraide. En étudiant les dimensions de la personnalité de 163 étudiants, puis en les interrogeant sur leur goût pour différents types de nourriture (bonbons, chocolats, nourritures salées, boissons amères, salades, etc.), des psychologues de l'Université de Gettysburg ont vu apparaître une corrélation : plus les gens aiment le sucre, plus ils présentent une forte dimension dite « d'agréabilité ». L'agréabilité est l'un des cinq grands traits de caractère classiques utilisés pour décrire la personnalité. Elle désigne des personnes altruistes, secourables, confiantes, conciliantes, sincères et droites.


COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :

Mardi 21 février 2012, 12h30 à 14h30, MSCI PARIS
Page publiée le 14 février 2012
Cette séance du Séminaire de l’ISCC accueille Saber Mansouri et Emmanuel Eveno. 


LIRE : 

16 Fév 2012 revues.org
Mise en ligne du n° 19 (2012), en texte intégral.


16 Fév 2012 revues.org
Parution du n° 253-254 (2011), Chine : regard croisé



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