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jeudi 24 novembre 2011

Veille 24 novembre 2011



NTIC :


24 novembre 2011 Michel Vajou Info GFII
Le New York Times révèle dans son édition d’hier que Microsoft a signé l’engagement de confidentialité imposé par Yahoo à ses repreneurs potentiels. Cet engagement de confidentialité permettra à Microsoft – et aux fonds d’investissement qui l’ont déjà signé – d’accéder à la « Data Room » de Yahoo, c'est-à-dire à l’ensemble des données économiques et opérationnelles permettant d’évaluer une éventuelle offre de reprise de ce site portail, emblématique. Les rumeurs de rachat de Yahoo sont légion. Une offre de Microsoft sur Yahoo avait déjà été faite en 2008 valorisant la firme à 45 milliards de dollars, offre que Yahoo a refusée (sa capitalisation boursière est aujourd’hui de 18,5 Md. $). Depuis, des coopérations opérationnelles entre les deux firmes ont établi des liens solides : Bing, le moteur de recherche de Microsoft, est le moteur de recherche par défaut sur la page d’accueil de Yahoo, Yahoo assurant par ailleurs la régie publicitaire des liens sponsorisés issus des requêtes sur Bing. Le 8 novembre dernier, Yahoo, Microsoft et AOL (l’autre vétéran mal en point du Net) ont annoncé un accord pour proposer aux annonceurs une offre globale de publicité « display ». Si la page d’accueil de Yahoo reste la page la plus vue au plan mondial, Yahoo n’est jamais parvenu à monétiser cette audience au niveau atteint par Google, son grand concurrent. Microsoft a indiqué qu’à la différence de l’offre faite en 2008 il envisageait une reprise au côté d’autres partenaires. Yahoo reste un gros morceau à avaler : il emploie 13 500 employés dans 25 pays. Fin octobre le Wall Street Journal annonçait que Google tentait de s'associer à des fonds d’investissement pour reprendre Yahoo. Mais ce rapprochement Google/Yahoo poserait de redoutables problèmes de concurrence et serait examinée de près par les autorités antitrust. Même si les stratégies des grands acteurs internationaux de l’économie numérique ont pour horizon les marchés grand public (B-to-C) une reprise de Yahoo par Microsoft (ou par Google) serait une opération de concentration majeure qui aurait des répercussions sur l’ « écosystème numérique » qui est aussi le cadre dans lequel se développent les activités en ligne B-to-B.
Sur le même sujet lire Microsoft toujours intéressé par Yahoo! 24 novembre 2011 Le Monde ou  sur New York Times

publié le 24 novembre 2011 à 15h31 par Thibault Univers FreeBox
La Commission européenne a annoncé hier qu’elle renonçait à légiférer pour imposer en Europe un service universel haut débit pour Internet et les services de télécommunication mobile. 
Fer de lance de l’exécutif européen, Bruxelles a lancé en mars 2010 une consultation publique afin de savoir s’il fallait valoriser les obligations européennes du service universel dans le domaine du haut débit afin de réduire la fracture numérique. 
Au final, la Commission européenne a renoncé au projet de l’internet universel. En cause, « la charge pesant sur l’industrie et les répercussions sur les prix à a consommation seraient maximales dans les Etats où les niveaux de revenus et de couverture du haut débit sont actuellement faibles » 
Du fait de la disparité entre les Etats membres, la commission européenne a décidé de ne pas légiférer pour lutter contre la fracture numérique. Elle a aussi indiqué dans son communiqué « qu’il ne serait pas opportun, à ce stade, de fixer au niveau de l’UE un débit de connexion unique». 
Ainsi, les Etats sont libres d’inclure ou non les connexions haut débit dans leurs obligations de service universel. Seule l’obligation de raccordement au réseau de téléphonie public (communications vocales) et la mise en place d’un accès fonctionnel à Internet demeure.

SCIENCES ET SOCIÉTÉ : 

jeudi 24 novembre 2011 CommentCaMarche
Selon une étude Capgemini Consulting - MIT Center for Digital Business, seulement un tiers des entreprises auraient réussi sa « transformation numérique », et utilisent pleinement les nouvelles technologies pour améliorer leur performance et leur compétitivité. 
Cette étude mondiale repose sur 157 entretiens réalisés auprès d'entreprises par Capgemini Consulting et le MIT Center for Digital Business. Avec pour objectif d'évaluer leur utilisation des nouvelles technologies de l'information pour améliorer leur performance, et donc déterminer dans quelle mesure celles-ci ont réussi leur conversion numérique.

24 novembre 2011 Owni
Création, distribution, modèle économique, rapport à Internet... Directeur de la prospective de France Télévisions, Éric Scherer dresse un état de lieu d'une télévision révolutionnée par le numérique.
La série continue. Avec Internet et la révolution numérique, la destruction créatrice, qui a bouleversé de fond en comble les industries de la musique, de la presse et du livre, s’abat aujourd’hui sur le monde de la télévision. Elle risque d’y être plus rapide et plus rude. Et comme pour les autres vieux médias, la création de valeur risque de se faire ailleurs, mais la destruction chez elle. Avec, de toute façon, un grand gagnant : le téléspectateur, qui deviendra télénaute !

Publié le 24-11-2011 zataz
La Cour de Justice Européenne s'oppose à la France qui souhaitait imposer à un fournisseur d'accès à Internet la mise en place d'un système de filtrage. Dans une décision rendue publique aujourd'hui la Cour de Justice de l'Union européenne a estimé que "le droit de l'Union s'oppose à une injonction, prise par une juridiction nationale, d'imposer à un fournisseur d'accès à Internet la mise en place d'un système de filtrage afin de prévenir les téléchargements illégaux de fichiers." Françoise Castex, député Européen du Sud-Ouest, estime auprès de ZATAZ.COM que "la décision de la Cour de Justice de l'Union Européenne est un coup d'arrêt à la logique de filtrage qui prévaut en Europe. Ces dernières années, certains gouvernements ont voulu sacrifier nos libertés fondamentales sur l'autel du droit de la propriété intellectuelle". L'ex rapporteur pour le Groupe socialiste sur le rapport Gallo se "félicite que la Cour rappelle que le droit de la propriété intellectuelle n'est pas absolu et qu'il doit être concilié avec la liberté d'entreprise, le respect de la vie privée et le droit de communiquer, qui sont des droits aussi fondamentaux au XXIème siècle." Le groupe socialiste demande à ce titre à la Commission européenne d'étudier la possibilité d'une régulation positive du partage de fichier en Europe assortie d'un soutien aux nouveaux modèles économique de financement et de distribution pour les créateurs.

24 novembre 2011 01net
Le moteur exclut de sa fonction d’autocomplétion certains termes, comme KickassTorrents, Btmon ou ExtraTorrent. Mais les pages Web correspondantes figurent toujours dans son index.
Ce n’est pas encore du filtrage, mais ça y ressemble. Depuis le début de l’année, Google écarte de sa fonction d’autocomplétion certains mots-clés liés au téléchargement illicite. Ces termes ne sont plus suggérés aux internautes au fur et à mesure qu’ils les saisissent dans le champ de recherche du moteur. C’est par exemple le cas de « rapidshare ».La liste des expressions ainsi « blacklistées » vient d'être rallongée, a remarqué TorrentFreak. Des sites de référence pour le téléchargement BitTorrent en font désormais partie. C’est le cas de Sumotorrent, KickassTorrents, ExtraTorrent ou encore Btmon. Faut-il pour autant parler de censure ? On en est encore bien loin. Car ces sites Web n’ont pas disparu de l’index de Google. Ils figurent bel et bien dans les résultats du moteur de recherche.

23 novembre 2011 Numerama
L'éducation nationale a indiqué que les élèves de terminale de la série scientifique recevront à partir de la rentrée prochaine un enseignement destiné à les sensibiliser aux différents types de licences et aux notions de non-rivalité des biens immatériels. Une avancée a première vue positive, mais encore bien timide.

IST : 

Le jeudi 24 novembre 2011 par Olivier Andrieu Abondance
Une dénommée PotPieGirl a mené l'enquête au sujet des "Search Quality Raters", ou personnes qui sont, chez Google, chargées de mesurer la qualité des résultats de recherche du moteur. On y apprend de nombreuses informations très intéressantes...
Depuis plusieurs années, Google utilise des "Quality Raters", ou personnes chargées de noter la qualité des résultats de recherche fournis par le moteur (plus spécifiquement appelés "Search Quality Raters" ou SQR). On ne sait que peu de choses sur ce poste-clé au sein de la firme de Mountain View, aussi, une dénommée PotPieGirl a mené l'enquête afin de découvrir qui sont ces "googlers" si mystérieux. Elle a ainsi suivi bon nombre de discussions sur un forum au sein duquel ils sont très actifs. Et elle a glané quelques infos intéressantes, comme par exemple celles-ci

Infos GFII et rappels
24 novembre 2011
Paris, le 24 novembre 2011 – LexisNexis, éditeur juridique de référence, lance Tendance Droit, une revue numérique annuelle offerte aux professionnels du droit et du chiffre et consultable sur ordinateur, tablette ou smartphone. www.lexisnexis.fr/tendancedroit
Jeudi 15 Décembre 2011 - de 9h à 11h
GFII - 43 rue Beaubourg - 75003 Paris
Après le succès du séminaire sur les Retours du voyage d'étude du GFII à la Foire de Francfort, le GFII vous propose de participer à une rencontre informelle sur les Retours du voyage d'étude dans le cadre du salon Online Information de Londres, jeudi 15 décembre de 9h à 11h, dans les nouveaux locaux du GFII, 43 rue Beaubourg (75003, Paris).

(15/11/2011)
Comme tous les ans, le groupe Swets, l’une des deux grandes agences mondiales d’abonnement, vient de publier sa synthèse (1) sur l’évolution des prix des périodiques scientifiques, établie à partir des tarifs 2012 fournis par les éditeurs (pour un univers de 84 863 revues). Swets ventile ces évolutions tarifaires par grand compartiment disciplinaire, puis par zone géographique d’appartenance des éditeurs. Les données sont uniquement des pourcentages d’évolution, et non des prix moyens par revue. Ces évolutions sont mesurées à partir des données hors TVA, exprimées dans la monnaie d’origine du pays ou de la zone de publication dans lequel l’éditeur affiche ses prix catalogues. Deux types de prix font l’objet d’une analyse : le prix sur le marché « local » servi par l’éditeur (par exemple le prix sur le marché américain d’une revue publiée par un éditeur américain) et le prix de la même revue pour des clientèles étrangères. Cet étalonnage Swets ne prend pas en compte les effets de change qui peuvent avoir un fort impact sur le prix payé par le client final dans sa monnaie nationale (2). En ne prenant en compte que les prix sur le marché d’origine de l’éditeur (3), on constate que dans tous les cas et pour toutes les disciplines les évolutions tarifaires se situent bien au-delà de l’inflation. L’évolution moyenne (qui n’a d’intérêt que comme indicateur macro-économique) du prix des revues, tous pays et tous secteurs disciplinaires confondus, est de 4,71% quand l’inflation dans les grands pays d’origine des éditeurs ne devrait avoisiner que 2%. Les revues du secteur « Humanities » (études littéraires et humanités, 11664 titres recensés par Swets) affichent la progression la plus modérée avec une inflation de 3,72%. Les revues en médecine (13 704 revues) verront leur prix progresser de 5,24%. Les revues scientifiques hors médical et sciences de l’ingénieur (13 722 titres) verront leur prix augmenter de 5,79%. Les revues de technologies appliquées (15 038 titres) augmenteront de 4,03%, les revues en sciences sociales de 3,59%.
Source : Information issue du Spot GFII 360, rédigée par Michel Vajou. L’ensemble de l’analyse est disponible sur le réseau social du GFII, AMICO, réservé aux membres du GFII
Action : Achat groupé - Abonnement

(21/11/2011)
De façon très inhabituelle (jusqu’ici le groupe ne publiait que des résultats semestriels), Reed Elsevier a publié le 16 novembre un communiqué faisant le point sur la tenue de ses activités. Sans publier des résultats chiffrés sur ses revenus et son résultat, Reed Elsevier indique la tendance de croissance au troisième trimestre pour ses différentes activités. Ils sont dans le prolongement des résultats du premier semestre 2011, et donc suggèrent une tenue de l’activité et non une dégradation. Cependant rien de vient illuminer des performances assez ternes. 
Source : Information issue du Spot GFII 360, rédigée par Michel Vajou. L’ensemble de l’analyse est disponible sur le réseau social du GFII, AMICO, réservé aux membres du GFII
Action : Marchés et modèles économiques

Jeu 24 Nov 2011
Le groupe Wolters Kluwer a publié hier un communiqué sur l’évolution de ses performances au 3èmetrimestre 2011. Sans donner de chiffres précis sur ses revenus ou ses profits, le groupe indique simplement que ses résultats 2011 seront en phase avec les prévisions et objectifs fixés antérieurement. La croissance organique serait comparable à celle affichée au premier semestre (+1%) et le groupe tend vers un niveau de rentabilité, mesurée au niveau de l’EBITDA, de l’ordre de 21% sur chiffre d’affaires. Dans le même communiqué, Wolters Kluwer, qui avait en juillet dernier annoncé la mise en vente de ses activités « Pharma » indique avoir cédé à l’éditeur scientifique Springer, pour un montant non dévoilé, les activités regroupées au sein de la Pharma Marketing and Publishing Division (MPS ), subdivision de l’ensemble Health & Pharma Division. Les activités reprises par Springer comprennent un portefeuille de 24 revues et newletters à forte notoriété, des bases de données sur les médicament en développement, des services d’analyse du marché des médicaments ainsi que des services d’intelligence économique pour l’industrie pharmaceutique.

Jeu 24 Nov 2011 à 10:44
La production d’indices boursiers est un segment peu connu du secteur de l’information financière. Pourtant des indices majeurs comme le Dow Jones Industrial Index et le Standard & Poor’s 500 sont souvent cités pour illustrer les tendances de la Bourse américaine. Les deux leaders mondiaux de la production d’indices ont annoncé le 4 novembre leur fusion, pour créer un nouvel acteur pesant plus de 400 millions de dollars annuels de revenus. Filiale du groupe McGraw Hill la société Standard & Poor’s Indices produit environ 700 000 indices. Filiale du groupe CME (Chicago Mercantile Exchange, première place mondiale pour les produits financiers dérivés) la société CME-Dow Jones produit 130 000 indices. Les activités de ces deux entités seront fusionnées pour créer la société S&P/Dow Jones. Mc Graw-Hill détiendra 73% des parts de la nouvelle société, le CME en aura 24,4% et le groupe Dow Jones en détiendra 2,6%. Mc Graw Hill renforce ainsi sa division « Markets » qui rassemble toutes ses activités pour le monde de la finance (dont l’agence de notation Standard & Poor’s, à ne pas confondre avec Standard & Poor’s Indexes). Le rapprochement des deux entités permettra des économies d’échelle dans le développement de plates-formes technologiques de production d’indices mais aussi dans l’achat des fils d’information temps réel générés par les places financière, dont la production d’indices est fortement consommatrice. Le nouvel ensemble devrait afficher une marge opérationnelle supérieure à 50%. Ce rapprochement voulu par les groupes Mc Graw-Hill et CME rend l’activité de fourniture d’indices très oligopolistique (d’où les taux de marge exceptionnellement élevés). Le troisième intervenant mondial de la production d’indices financiers est le groupe britannique FTSE, joint venture entre le groupe Financial Times et la bourse de Londres (LSE). FTSE produit 120 000 indices.
FIN infos GFII

VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE : 

24 novembre 2011 le Républicain Lorrain
Olivier Buquen, délégué interministériel à l’intelligence économique, était de passage à Metz, hier. L’occasion pour lui de venir présenter les grandes lignes de l’action gouvernementale en la matière. « Elle est importante pour la compétitivité des entreprises, pour l’innovation et le soutien à l’export mais aussi pour la sécurité économique. Le gouvernement engage une action de sensibilisation des entreprises. Il est essentiel qu’elles protègent leur savoir-faire », explique Olivier Buquen, venu faire passer le message à des représentants du monde économique. Il a, du reste, salué la situation en Lorraine, rappelant que trois quarts des chefs d’entreprise « ont identifié les informations et savoir-faire stratégiques de leur société. 57 % d’entre elles ont mis en place des mesures de protection », selon une étude de chambre de commerce et d’industrie de la région. Il a également insisté sur le renforcement de la sécurité économique. « Dans cette affaire, il ne faut être ni naïf ni paranoïaque mais vigilant. » Si en France, l’an passé, quelque 1 000 atteintes économiques ont été recensées, en Lorraine leur nombre atteint 40.
Des atteintes dont le but est de capter tout ou partie du patrimoine économique et scientifique de leur cible ou endommager, saboter, voire détruire ce patrimoine. Le piratage informatique est la forme la plus connue. La délégation interministérielle entièrement dédiée à l’intelligence économique coordonne l’ensemble des administrations sur ce sujet, en suscitant des actions de sensibilisation auprès des entreprises.

24 novembre 2011 L'intelligence économique en quelques clics
Chaque année, l’Académie de l’Intelligence Economique (AIE) conduit un programme d’événements liés à l’IE d’entreprise. Pour la 5ème année consécutive, elle organise la Journée Nationale d’Intelligence Economique d’Entreprise dont l’édition 2011 (la JIEE’11) portera sur le thème de l’entreprise compétitive ; elle se tiendra le mardi 13 décembre au Centre des Congrès d’Aix-en-Provence. A noter la table ronde intitulée « Tendances lourdes/signaux faibles : quels futurs possibles pour l’IE ? » animée par Jean-François Pépin, délégué général du CIGREF avec notamment Alain Juillet, Président de l’AIE, Bernard Esambert, Président du Club des vigilants, Olivier Darasson, Président fondateur de la Compagnie européenne d’intelligence stratégique (CEIS) et Président du Conseil d’administration de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).

Veille scientifique Pierre Poulain  M2 BI – 11/ 2011.
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COLLOQUES, MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :


Jeudi 19 janvier 2012 | Guyancourt (78380)
Publié le jeudi 24 novembre 2011 par Loïc Le Pape
RÉSUMÉ
Colloque international communication et journalisme. Nouvelles frontières ? Nouvelles interdépendances ? 19-20 janvier 2012, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Malgré une multiplication indéniable des enquêtes consacrées aux communicants et à leurs pratiques, la sociologie de la communication n’a pas connu la même « montée en puissance » que celle repérable en sociologie du journalisme. Ce moindre intérêt des sciences sociales apparaît paradoxal, tant les processus de médiatisation et de circulation d’informations semblent difficilement analysables si l’on ne tient pas compte des transformations des activités communicationnelles. L’objectif de ce colloque est ainsi de questionner ce qui joue aujourd’hui entre « communication » et « journalisme » ou, plus exactement, entre « communicants » et « journalistes ». Six sessions doivent permettre de mieux appréhender l'évolution des frontières, des interactions et des interdépendances entre ces deux espaces professionnels.
ANNONCE
Communication et journalisme Nouvelles frontières ? Nouvelles interdépendances ?, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, VIP - CERAPS - LASSP, 19-20 janvier 2012, Bâtiment Vauban / Amphi 4


Le groupe PIN (Pérennisation de l'Information Numérique) organise sa prochaine réunion plénière le Vendredi 2 Décembre au siège du CNES à Paris. 
La journée sera axée sur la présentation d’offres commerciales avec un focus particulier sur la façon dont elles adressent et implémentent les fonctions de versement, stockage et gestion des données telles que définies dans le modèle de référence OAIS. Parmi les éditeurs présents, vous pourrez retrouver Atos Worldline, Tessella, Arcsys software ou encore Naoned systèmes. 
Consultez le programme complet (pdf)

La FULBI (Fédération des Utilisateurs de Logiciels pour Bibliothèque, Documentation et Information)
L’ADULOA : (Utilisateurs des logiciels d’OPSYS Archimed)
L’AULP (Association des utilisateurs du logiciel Portfolio)
L'AUSIDEF (Association des utilisateurs des systèmes informatisés de SirsiDynix en France)
Le CUTO (utilisateurs d’Orphée)
Le Club2e (utilisateurs des logiciels de la société Ever Team)
Le CNAM-Paris (INTD)
Ont le plaisir de vous convier à leur journée d’étude annuelle : 
«Et si on essayait sans ?» Apprivoisons les disparitions liées au numérique
Le 19 janvier 2012
à l’ASIEM
6, rue Albert de Lapparent
75007 Paris
Métro Ségur

2 sessions de formation sont d’ores et déjà planifiées en région pour 2012, et d’autres suivront !
Diffuser des informations en respectant le droit, à Montpellier les 26 et 27 janvier 2012
Fils RSS – optimiser leur utilisation , à Lyon les 12 et 13 mars 2012
Il est possible de s’y inscrire dès maintenant via www.adbs.fr

Solutions de gestion de l’information en Saas et cloud : enjeux et opportunités
5 à 7 ADBS, 13 décembre 2011, 17h00-19h00
ADBS
25 rue Claude Tillier (Amphithéâtre de l'IFAG Rez-de-chaussée)
75012 Paris 
Manifestation réservée aux adhérents de l'ADBS
L'offre de solutions en cloud se développe rapidement, qu'il s'agisse d'infrastructures ou de services. Mais que recouvre justement et précisément le cloud ? Quels modes de gestion de projet et de tarification induit-il ? Constitue-t-il une opportunité nouvelle pour les professionnels de l'information ? Les freins souvent évoqués (réversibilité, sécurité) sont-ils des risques réels ?
Ludovic Dubost, président d'Xwiki, fera le point sur ces questions à l'occasion du dernier 5 à 7 de l'année le 13 décembre.
Programme- Qu'est-ce que le cloud ? acteurs, marché, tendances,
- Approches les plus adaptées pour le monde de la gestion d'information :SAAS/IAAS/PAAS 
- Quid de l'Open Cloud ?
- Tour d'horizon des solutions de gestions d'info sur le cloud Ce qu'on peut en attendre ou non

L'ADBS Pays-de-La-Loire/Poitou vous propose une Journée d'Etudes, le jeudi 19 janvier 2012, à Angers sur le thème : 
"La fonction pédagogique des documentalistes : accompagner/former les utilisateurs à la recherche documentaire" 
Philippe Fabre, formateur conseil, traitera des questions relatives à la pédagogie, aux processus d'apprentissage, à la gestion des groupes, ainsi qu'au rôle du documentaliste-formateur. Il s'agira dans un premier temps d'interroger les méthodes de formations habituelles et d'en pointer les forces et les limites. Dans un deuxième temps, il indiquera quelles sont les démarches pédagogiques les plus efficaces pour la formation à la recherche documentaire.

LIRE : 

24 novembre 2011 Revues.org
Mise en ligne du n° 2 (2011), Memorias de la Guerra Civil española: transmisión, reapropiación y uso, Europa-América Latina dans la collection « Actes de Colloque », en texte intégral.
Amnis est une revue française à comité de lecture international. Son objectif est de mettre à la disposition des chercheurs un outil qui contribue à une réflexion approfondie et diversifiée sur le passé récent, le présent et l'avenir des sociétés européennes et américaines (XIXe-XXIe siècles).

Parution 24/11/2011 CNRS éditions
Jusqu’aux années 1950, le musée faisait partie des institutions culturelles établies, s’inscrivant dans l’héritage du xixe siècle et la tradition des collectionneurs. Avec la démocratisation et le développement des industries culturelles, la situation a radicalement changé, comme en témoignent le nombre, le rôle et la visibilité de ces établissements. Dépassant les missions de conservation et de connaissance savante, la communication en direction du grand public a remis en jeu la dynamique du musée, pour en faire aujourd’hui une institution phare, rayonnant sur la cité.




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