NTIC :
Par iSt le vendredi 11 novembre 201
Voilà une statistique sur l'utilisation de l'iPad après achat bien
étonnante, en provenance de nos voisins d'outre manche.
Ainsi, après avoir sondé environ 1500 possesseurs d'iPad sur leurs
habitudes d"utilisation, le site www.MyVoucherCodes.co.uk annonce des
résultats étonnants pour certains :
Ainsi, si 42 % l'utilisent tous les jours, on est surpris des deux
autres chiffres suivant qui annoncent que26 % ne l'utilisent qu'une seule fois
par semaine tandis que 10 % d'entre eux ... l'ont abandonné !
SCIENCES ET SOCIÉTÉ :
10 novembre 2011 01net
Les caractéristiques du futur permis de conduire viennent d'être
officialisées. Il comprendra une puce électronique et facilitera… le
recouvrement des amendes.
D’ici à 2033, le bon vieux document rose aura totalement disparu
de la circulation. A partir du 19 janvier 2013, un nouveau permis de conduire
remplacera progressivement l’ancien document. Le ministère de l’Intérieur vient
d'en détailler les caractéristiques et les modalités de déploiement,
conformément aux exigences d’une directive européenne de décembre 2006. Les
détails sont publiés au Journal
officiel de ce jour.
11 novembre 2011 PC INpact
Combien de temps passe-t-on en moyenne chaque jour à dormir, à se
laver, à cuisiner, à travailler, à jouer ou encore à surfer sur Internet ?
L’Insee vient de répondre à cette question en séparant les personnes selon le
sexe et le statut (étudiants, salariés, chômeurs, retraités, etc.). D’une façon
globale, le temps quotidien passé à jouer et à surfer sur Internet est passé de
16 minutes en 1999 à 33 minutes en 2010, ce qui en fait les seconds loisirs
(loin) derrière la télévision et devant la lecture, le sport et la promenade.
Mais des disparités importantes existent selon les catégories.
11 novembre 2011 InternetActu
Comprendre le fonctionnement du cerveau est l'un des enjeux de la
convergence des technologies à la fois parce qu'il est devenu un objet de
technologie, mais également parce l'étude de son fonctionnement permet d'envisager
des technologies pour dépasser ses limites. C'est ce que va essayer de nous
faire comprendre Rémi Sussan dans ce dossier d'InternetActu.
12 novembre 2011 Owni
Certains musées s'emparent du numérique pour renouveler
l'expérience de la médiation culturelle. La preuve en quinze exemples de
dispositifs, conçus aussi bien pour de grosses structures que pour de plus
modestes. Depuis les années 1980, la montée des technologies numériques, du
multimédia et des technologies de l’information a suscité l’intérêt de nombreux
musées. L’audioguide un peu désuet s’est transformé en guide multimédia, les
écrans ont envahi les lieux d’expositions, de nouveaux modes d’accès à l’information
sont apparus (e.g. via les smartphones).
12 novembre 2011 Slate.fr
A l'approche de la présidentielle, les cercles de recherches et
clubs de réflexion sont partout.
S'il est un mot d’origine étrangère qui a connu un succès
fulgurant dans l’utilisation courante en France, qui ne relève absolument pas
de l’introduction des nouvelles technologies mais possède toujours une aura
mystérieuse et jamais vraiment levée, il s’agit bien du terme «think tank».
Bien que rapide, partiale et incomplète, une petite revue de
presse permet de réaliser l’importance prise par ces structures dans les
espaces dédiés aux débats d’idées.
Elle montre également que l’ensemble demeure bien vague, et que
si, clairement, des niches d’expertise se dessinent, et que certaines figures
émergent, dans le même temps, en matière d’identification, le flou continue de
se disputer au vague… sans doute pour le bonheur de tous et pour les bonnes
affaires du marché des idées.
IST :
Par The Whale, le 29 juillet à 22:10
Dans la vie, il y a deux types de personnes. Ceux qui peuvent vous
retrouver les factures de leurs achats au Casino de Palavas-les-Flots le 3 août
1995 à 14h35 en dessous de 2 secondes trois dixièmes. Et ceux qui passent une
demie heure le matin à chercher les clés de leur appart pour les retrouver dans
la machine à laver, sur la porte d’entrée (côté rue), ou plus banalement dans
le frigo entre le beurre et le lait périmé.
Prenons un représentant lambda de cette dernière catégorie.
Nommons le Georges. Plaçons le dans une situation bien précise : le premier
jour d’une recherche bibliographique (stage, thèse, mémoire).
Georges est idéaliste. Georges est plein de bonnes intentions.
Georges se dit, cette fois-ci, je vais être OR-GA-NI-SE. Emu, Georges crée un
dossier sur son bureau, qu’il intitule soigneusement « Bibliographie ». Il
commence à télécharger des articles, qu’il renomme « Auteur-Titre ». Il les
imprime, les lit au fur et à mesure (au surligneur), les range.
Tout est bien classé.
Georges est fier. Georges est fort. Mendeley est ICI
CST :
Marie-Anne Nourry 28.09.11Educpros
Malgré l’impact de la crise
sur l’emploi des jeunes, des entreprises manquent de candidats – et surtout de
candidates – dans le domaine des hautes technologies. Le concours Science
Factor a pour objectif d’enrayer la désaffectation des jeunes pour la science,
et d’intéresser les filles aux filières scientifiques et techniques.
Lancé sur Facebook, dans le
cadre de l’opération Sensationnelles 2011, dont le but est justement de
promouvoir les filières scientifiques, le concours est parrainé par le
Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, le Ministère de
l’Education nationale, Universcience, en partenariat avec Orange et le
Syntec.
Les lycéens ont jusqu’au 15
décembre 2011 pour participer, en s’inscrivant sur la page Facebook de Science Factor, après s’être
constitués en équipes de quatre. Ils doivent décrire le projet, la découverte
ou la recherche qu’ils aimeraient entreprendre s’ils étaient déjà diplômés
d’une filière scientifique. Les cinq équipes finalistes présenteront leurs
projets au jury présidé par la première femme spationaute française et
présidente d’Universcience, Claudie Haigneré. L’équipe gagnante empochera
quatre chèques cadeaux de 500 €, à dépenser sur des produits HighTech, et
quatre entrées pour Universcience, qui regroupe la Cité des sciences et le
Palais de la découverte.
[Date: 2011-11-10] Cordis
Les dessins peints dans les cavernes datant du Paléolithique
reflètent-ils bien l'environnement naturel de l'homme préhistorique? Une équipe
internationale de scientifiques a utilisé l'ADN (acide désoxyribonucléique)
pour résoudre le mystère des représentations des chevaux sur les dessins
préhistoriques pariétaux.
Présentés dans la revue scientifique National Academy of Sciences
(PNAS), les résultats montrent que toutes les variations chromatiques observées
dans les dessins du Paléolithique, dont le pelage pommelé, existaient bien dans
les populations de chevaux domestiques de l'époque. L'étude a permis de
corroborer la théorie selon laquelle les artistes reflétaient bel et bien leur
environnement naturel et fournit ainsi la preuve de l'existence des phénotypes
des chevaux aux taches grises. Jusqu'à présent, les études d'ADN n'avaient
confirmé que l'existence des chevaux aux pelages bais et noirs.
VEILLE, INTELLIGENCE ECONOMIQUE :
Posted on November 11, 2011 by
cloud2011 veille-techno.blogs.ec-nantes
Dans ce deuxième article de veille technologique sur le cloud
computing, nous allons vous présenter ses aspects techniques. Pour cela, nous
vous présenterons les différents types d’offres composants le cloud computing,
puis nous étudierons plus en détail la virtualisation. Nous verrons ensuite
quelles sont les infrastructures utilisées et nous finirons en expliquant les
différences entre le cloud computing et le grid computing.
Les différents types d’offre
Le Cloud se décompose en trois types d’offres différentes:
Le Iaas : Infrastructure as a service
Paas : Platform as a service
Saas : Software as a service
Le Cloud de type Iaas, consiste en la mise à disposition de
ressources matérielles (à la fois stockage et puissance de calcul). L’Iaas
représente environ 50% du marché du Cloud à l’heure actuelle. Les entreprises
sont de plus en plus consommatrices de service de type Iaas notamment en leur
qualité de fournisseur d’espace de stockage et sauvegarde à distance. On peut
citer l’offre http://aws.amazon.com/fr/ec2/.
PÔLES de COMPÉTITIVITÉ :
mercredi 9 novembre 2011 localtis info
Les pôles de compétitivité sont désormais bien installés dans le
paysage économique, mais leurs innovations peinent à exister sans les
financements adéquats. Outre-Rhin, le modèle des banques financées par les
Länder retient l'attention. La neuvième édition des Carrefours européens des
clusters, le 3 novembre à Nantes, en a largement témoigné.
Plus une entreprise est innovante, plus elle a de chances
d'exporter. Un constat mis en lumière par une étude récente des douanes montrant que 60%
des entreprises exportatrices françaises se déclarent "innovantes".
Les secteurs de la pharmacie, de l'informatique, de la chimie ou
encore de l'automobile se taillent la part du lion en se distinguant par leur
forte valeur technologique. Mais ces douze derniers mois, la France a
cumulé 67 milliards d'euros de déficit commercial,
quand l'Allemagne amassait un trésor de plus de 100 milliards.
Les pôles de compétitivité, qui font interagir les entreprises
avec le monde de la recherche, font partie des solutions explorées pour résorber
ce fossé commercial. A condition que le financement de leurs innovations soit
assuré. En attendant des jours économiques meilleurs, les responsables des
pôles de compétitivité scrutent les méthodes employées Outre-Rhin. Le
rendez-vous donné par France Clusters à Nantes, le 3 novembre, a été l'occasion
de mieux cerner le modèle allemand. Il s'agissait de la neuvième édition des
Carrefours européens des clusters, organisée autour de la thématique "Quel
financement des Clusters et de leurs PME pour l‘avenir". "Les mêmes
outils de financement existent, mais les performances entre les deux pays sont
différentes", note Marc Lutinier, à la tête d'un fonds d'investissement
régional consacré à l'industrie et l'emploi dans les Pays de la Loire.
competitivite.gouv.fr
Ce recueil réunit les premiers projets de R&D (FUI) des
pôles dont le conventionnement est terminé. Chaque projet fait l'objet d'une
fiche synthétique dont l'objectif est de montrer à quoi à servi ce projet et
d'identifier les premières retombées technologiques et économiques. Ce recueil
sera régulièrement mis à jour. Il est complémentaire de la base de données des projets de R & D des pôles en
fin de conventionnement.
SYNDICATS
:
(10/11/2011) SNCS
Le Syndicat National des Chercheurs Scientifiques (FSU) a pris
connaissance du nouveau projet de l’UMP qui, réunie en convention le 8 novembre
2011, préconise la « fusion du corps des directeurs de recherche avec celui des
professeurs d’université ».
Jeu 10 Nov 201 SNCS
"Insidieusement, la manie du tout-piloté s’empare de ceux qui
gouvernent la recherche. Interprètes fidèles ou forcés de la pensée
gouvernementale, ils n’imaginent plus les chercheurs que comme des pions qu’on
place et qu’on déplace sur la carte toujours plus virtuelle des futurs IdEx et
« campus d’excellence ». La suppression, en 2011, de la rubrique « voeux
d’affectation » dans les formulaires de candidature aux concours de recrutement
des chercheurs du CNRS constitue de ce point de vue un symptôme révélateur.
Sous couvert de « politique de site », les affectations de jeunes chercheurs deviennent
l’outil d’une dévolution des organismes de la recherche publique aux
universités LRU. La liberté d’initiative des chercheurs est pourtant la grande
force de la recherche publique. Pouvoir exprimer clairement des voeux
d’affectation est la moindre des libertés. Pour l’organisation des concours
2012, le SNCS demande le retour à la clarté." Patrick Monfort,
secrétaire général du SNCS-FSU
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