NTIC :
Réseaux sociaux en France : FB n°1 incontesté, G+ fait une
entrée remarquée
Et Twitter est connu mais boudé
16 novembre 2011 PC INpact
16 novembre 2011 PC INpact
L’Ifop vient de publier le bilan de sa dernière enquête sur les réseaux sociaux au sens
large. Cette étude est intéressante car elle ne concerne pas une poignée de
sites triés sur le volet, mais 35 réseaux sociaux différents. De plus, l’étude
étant récente, des sites comme Google+ ont été intégrés. En termes de
notoriété, ce dernier devance ainsi déjà MySpace en France et se place déjà en
8e position sur 35, loin devant Badoo, Viadeo, LinkedIn, et Flickr par exemple.
Touche-moi si
tu peux !
17 novembre
2011 PC INpact
Via son son
laboratoire d'expérimentation Orange Labs prime zone, l'opérateur à l'agrume
nous propose de découvrir et de tester des applications pour smartphones et
tablettes. Notez qu'elles sont disponibles pour tous et ne sont donc pas
réservées aux seuls clients de la marque. L'une d'entre elles, « Erreur ! Référence de lien hypertexte non
valide. », propose un concept original : devenir amis sur
Facebook grâce à l'utilisation de la « Near Field Communication », ou NFC.
SCIENCES ET SOCIÉTÉ :
Jeu 17 Nov
2011 Hubert Guillaud InternetAct
Où s’élabore
la convivialité ? Comment se construisent les réseaux sociaux ? Sont-ils
réellement des espaces de sociabilité ou n’en sont-ils qu’une illusion, voire
une déformation ? Le Forum de la République des idées est
largement revenu sur un diagnostic de repli, celui d’un rétrécissement du
commun, explique Pauline Peretz de la Vie des Idées. “Pourtant, la disparition des
lieux traditionnels de sociabilité s’accompagne aussi de la création de
nouveaux lieux de sociabilité que sont les Indignés, les Amap, les monnaies
complémentaires, les réseaux sociaux… Autant de lieux qui sont la marque d’un
nouveau lien, d’un nouveau ciment entre leurs membres, reliés par un projet
commun et pas seulement par l’action politique”. Dans un contexte de crise
économique et sociale, la question de convivialité semble encore plus
importante. Est-elle une alternative crédible à la croissance, au productivisme
comme le proposait Ivan Illitch en 1973 dans De la convivialité qui la définissait comme
un programme de lutte contre la bureaucratie et la technocratie ?
17 novembre
2011 | par Thibaut Klein et Laurence Bianchini My Science Work
Cet
été, le débat sur la légalisation de l’euthanasie a été relancé en France à la
suite de la mise en examen du Dr. Bonnemaison, médecin urgentiste de Bayonne.
Néanmoins, force est de constaté que les débats sont souvent passionnels et
déformés par une grande méconnaissance des textes de loi en vigueur. Il est
donc nécessaire de recadrer ce débat en clarifiant les obligations, les
interdictions et les limites de la loi Léonetti de 2005. Il nous faut ensuite
réfléchir sur la réalité du débat au vue des ses éléments puis alors
s’interroger sur la nécessité de légaliser. Nous vous suggérons de lire
auparavant notre article « Fin de vie et euthanasie en France : état des lieux »
qui revient sur les définitions des pratiques utilisées en France et replace le
débat dans un contexte éclairé.
17 novembre 2011 PC INpact
Et met la pression sur la Commission européenne
Le Parlement européen vient de voter à une très large
majorité à Bruxelles une résolution dont le nom est assez explicite :
« Résolution du Parlement européen sur l'Internet ouvert et la neutralité
d'Internet en Europe ». Pour La Quadrature du Net, il s'agit là « d'un
engagement politique fort en faveur de l'Internet neutre », d’autant plus que
la résolution demande expressément à la Commission de surveiller de façon
régulièrement l’évolution des réseaux et de garantir la neutralité des réseaux.
17 novembre 2011 Owni
Nicolas Sarkozy est attendu demain en Avignon pour un
discours destiné à réconcilier Internet, culture, et droits d'auteur. Un
prélude aux Journées du numérique débutant le 5 décembre. Et une opération de
séduction pour 2012.
On en sait davantage sur le programme des Journées du
numérique souhaitées par Nicolas Sarkozy. Elles sont censées se dérouler du 5 au 9
décembre. Mais elles commencent en réalité dès demain, vendredi, à l’occasion
du Forum
d’Avignon, qui s’interroge notamment sur “La propriété
intellectuelle à l’heure du numérique”. Le Président de la République devrait y
prononcer un discours devant le monde de la Culture.
IST :
La Dépêche du
GFII Michel Vajou
L’information : Commandité
en novembre 2010 par le gouvernement britannique et remis le 18 mai 2011, le
rapport Hargreaves (1) visait à faire des recommandations sur les évolutions
nécessaires du droit de la propriété intellectuelle outre-Manche. Le
gouvernement Cameron a accueilli positivement (2) les évolutions suggérées par
le rapport Hargreaves et a ouvert une série de chantiers législatifs pour
concrétiser ses recommandations. L’une de ces recommandations concerne l’introduction
d’une nouvelle exception au droit d’auteur en faveur des institutions de
recherche visant à leur permettre d’effectuer des traitements de text-mining et
de data-mining sans autorisation préalable des détenteurs de droits sur les
documents inclus dans les corpus ainsi exploités. Hostile à toute extension du
champ des exceptions au droit d’auteur, la Professionnal Publishers Association
(www.ppa.co.uk)
diffuse actuellement un argumentaire pour tenter d’empêcher la transposition
législative de cette disposition.
L’analyse de
la Dépêche : Le rapport Hargreaves est, y compris pour un lecteur
français, un intéressant exercice de prospective juridique ancrant ses
argumentaires dans la dimension économique : « Les changements du cadre de la
propriété intellectuelle pourraient dégager des revenus supplémentaire de
l’ordre de 7,9 milliard de livres (9,24 Md. euros) pour l’économie britannique
(…) Ses recommandations visent à donner à l’économie britannique un avantage
compétitif. L’ensemble des mesures proposées pourrait avoir un impact positif
de l’ordre de 0,6 % de PIB et permettrait de réduire les coûts de transaction
des industries ayant à gérer des droits de propriété intellectuelle de 750 M£
(876,6 M€) sur dix ans ». Entre autres recommandations, le rapport Hargreaves
préconisait la mise en place d’une plate-forme numérique nationale de
négociation de droits (DCE, Digital Copyright Exchange) et demandait l’adoption
d’un cadre législatif spécifique pour les œuvres orphelines. Généralement bien
reçu, le rapport Hargreaves mettait cependant en garde contre un cadre
juridique trop étroit limitant, au bénéfice des détenteurs de droits, le
développement de nouveaux usages. Sous l’intitulé «Les limites au Copyright », le
rapport indiquait : « Le gouvernement devrait fermement résister à toute
régulation excessive d’activités qui ne portent pas préjudice à ce qui est
l’objectif central du copyright, à savoir la possibilité pour les créateurs de
se rémunérer. Le gouvernement devrait garantir, dans le cadre juridique
européen, des exceptions au droit d’auteur qui couvrent les copies liées au
passage d’un format numérique à un autre, qui autorisent la parodie, qui
bénéficient aux organismes de recherche publics ou permettent l’archivage
électronique au sein des bibliothèques. La Grande-Bretagne devrait aussi
promouvoir au niveau européen une exception au droit d’auteur en faveur des
applications de text mining et de data mining. La Grande-Bretagne devrait
prendre l’initiative pour promouvoir au niveau européen une prise en compte des
avancées permettant de tirer parti des nouvelles technologies. Le cadre
juridique devrait être conçu pour favoriser de nouveaux usages rendus possible
par l’avancée des technologies, chaque fois que ces nouveaux usages ne visent
pas à une exploitation commerciale des œuvres. Le gouvernement devrait aussi
légiférer pour garantir que ces exceptions au droit d’auteur ne puissent être
restreintes par voie contractuelle »
Un
argumentaire que le gouvernement Cameron a fait sien : “Le gouvernement
approuve la thèse centrale du rapport qui indique que des exceptions les plus
larges possibles au droit d’auteur dans le cadre des règles européennes en
vigueur bénéficieraient au Royaume-Uni (…) En conséquence le gouvernement
britannique présentera à l’automne 2011 des propositions visant à un
élargissement substantiel des exceptions au droit d’auteur. Ces dispositions
incluront une exception pour de nouveaux types de copies à usage privé, elles
étendront les exceptions au bénéfice des organismes de recherche, elles
permettront de conduire des processus de text-mining et de data-mining dans la
mesure où le droit européen le permet».
Cette
interprétation plus permissive des clauses applicables aux établissements d’enseignement
supérieur et de recherche visant au développement d’applications de text-mining
et du data-mining est combattue par les associations d’éditeurs professionnels.
Les éditeurs expliquent qu’un libre accès à leurs corpus de documents sous droits
à des fins de text et de data mining modifierait en profondeur la gestion des
accès à leurs fonds numérisés. Toutes les formes d’exploitation commerciale de
contenus protégés passent par une gestion des accès grâce à une identification
de l’utilisateur et de ses droits d’usage. Les éditeurs expliquent aussi qu’ils
accordent déjà au cas par cas la permission d’exploiter leurs corpus pour des
usages analytiques. A leurs yeux la notion de « fair dealing » existant en
droit britannique au bénéfice des établissements d’enseignement supérieur, de
recherche et des bibliothèques qui y sont rattachées suffisent à assurer le
développement d’applications de text ou de data mining. Pour les éditeurs « les
applications de text et de data mining sont pour les éditeurs un champ nouveau
de leur activité économique et recèlent d’importantes réserves de croissance ».
Sur le fond ils affirment que « le text mining ne peut être dissocié de la
notion de copie ou de reproduction des œuvres sous droits ».
(1)
Digital Opportunity - A Review of Intellectual Property and Growth, http://www.ipo.gov.uk/ipreview.htm
L’ADBS
Lorraine vous invite à un 18-20h sur les tablettes numériques le 1er décembre à
l’IUT Nancy-Charlemagne (Plan d’accès).
Pour rappel,
une tablette numérique est un objet nomade dont l'écran permet de restituer un
texte sous un format électronique. Il permet notamment de lire des livres électroniques
(fichier électronique contenant un texte sous forme numérique).
Nous recevrons
Blaise Mijoule et Cécile Bielli, bibliothécaires à la Médiathèque de Nancy, qui
nous présenteront les modèles de tablettes qui y sont prêtés. Il s’agira d’une
démonstration d’une tablette Sony et de deux cybooks. Les deux intervenants
nous présenteront également la bibliothèque numérique Numilog. Vous aurez
l’occasion de manipuler les tablettes et de poser des questions à Blaise
Mijoule et Cécile Bielli sur l’expérience de la Médiathèque de Nancy.
Cette manifestation est gratuite et ouverte à tous. Pour des
raisons pratiques, nous vous demandons de vous inscrire en envoyant un simple
mail à l’adresse marianne.begin@yahoo.fr.
17.11.11
LEMONDE.FR
"Bien
informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des
sujets" La phrase d'Alfred Sauvy, démographe français du XXe siècle,
résume dans l'esprit le sujet de l'accès aux données. En donnant la capacité
aux citoyens d'être informés sur la vie de la cité,
notamment par la lecture et la manipulation des données publiques, leur
compréhension est améliorée.
L'"open
data", une mise à disposition des données publiques. Les données
recouvrent aujourd'hui de larges champs, des détails sur la fiscalité au nombre
de lampadaires dans une ville. Le mouvement de l'"open data" millite
pour que les données soient accessibles à tous, et ouvertes dans leur
réutilisation, notamment aidée par Internet.
CST
:
15 novembre
2011 "En quête de sciences"
Plusieurs
articles parus dans la presse britannique ou sur le Web ont relayé les
résultats d'une étude scientifique qui aurait expliqué les émeutes londoniennes
d’août par des carences en une certaine substance chimique présente dans le
cerveau humain. Des conclusions totalement infondées.
Consternés,
les scientifiques à l'origine de cette recherche nous ont fait parvenir la
tribune ci-dessous, publiée à l'origine dans le Guardian.
Par Petroc
Sumner, Frédéric Boy et Christopher Chambers, chercheurs en neurosciences
cognitives, School of Psychology, Cardiff University.
VEILLE,
INTELLIGENCE ECONOMIQUE :
Veille technologique internationale
Bulletins Electroniques - Allemagne 548 17/11/2011
Enseignement supérieur
Politique de la recherche
Coopération
Coopération internationale
Electromobilité
Informatique
NTIC
Publié le 17/11/2011 le nouvel économiste
Dans une économie mondialisée où la bataille aux parts de
marché se fait de plus en plus âpre, l’information devient un enjeu stratégique
majeur. Pour conserver une longueur d’avance sur leurs adversaires, les
entreprises mettent en place des systèmes de veille concurrentielle. Une
gageure pour nombre de PME, faute de moyens et de temps. Pourtant, même les TPE
auraient la possibilité de développer leur intelligence compétitive grâce à
Internet. La solution ? Etablir une stratégie de veille adaptée à leurs moyens
et besoins réels. Car en matière de collecte d’informations, mieux vaut viser
juste que voir trop grand.
PÔLES de
COMPÉTITIVITÉ, PÔLES d'EXCELLENCE :
novembre 2011
Images et Réseaux
Au vu de ses
résultats, Obeo est une petite entreprise qui ne connaît pas la crise. La
société installée à Carquefou près de Nantes terminera l’année 2001 avec un
chiffre d’affaires proche de 2,5 M€ et une croissance de +40%. Des chiffres
d’autant plus remarquables qu’Obeo n’a que six ans d’existence.
Son métier ?
Le génie logiciel. Ses clients ? Une galerie de grands comptes aux profils les
plus divers : Thales, Airbus, Alstom, le CEA et la SNCF aussi bien que la MAIF
et Pôle emploi. « Nos clients développent des systèmes complexes ou encore ils
gèrent des systèmes d’information de grande envergure, » » explique Stéphane
Lacrampe, directeur et co-fondateur d’Obeo. « Ce que nous leur apportons, ce
sont des outils qui leur permettent de maîtriser cette complexité. »
COLLOQUES,
MANIFESTATIONS, FORMATIONS, COMMUNIQUÉS :
APPEL
A COMMUNICATION
6, 7, 8
septembre 2012 Pôle Universitaire Cathédrale d’Amiens
La première
édition du colloque JOCAIR, en 2006, a inauguré une série d’échanges
scientifiques pluridisciplinaires entre les sciences de l’information et de la
communication, les sciences de l’éducation et l’informatique en se centrant sur
les problèmes posés en éducation et formation par la diffusion des outils de
communication à distance comme les forums, les courriels, les chats, les wikis
ou encore les blogs.
Au cours
du temps, plusieurs types de problématiques vives ont été proposés : les
utilisations des applications dites « collaboratives » ou relevant du « Web 2.0
» en 2008, les « objets communicants » en 2010.
Depuis deux
ans, un certain nombre d’évolutions se sont poursuivies dans la société, en
éducation et en formation, dont toutes n’ont pas encore fait l’objet de
recherches publiées.
Calendrier :
20 février
2012 : Date limite de soumission des propositions de communication
3 avril 2012 :
Notification aux auteurs
15 mai 2012 :
Réception des textes définitifs
LIRE :
17 novembre 2011 Histoire pour Tous
Intervient de plus une révolution sociale autour
de la place de la science dans la société, avec le rôle de l'imprimé, de la
publication, et donc du public et de la sociabilité. Néanmoins, la science
connaît cette évolution sous l'autorité du prince
DIVERS :
Posted
on 17 novembre 2011 votons pour la science
L’OCDC
et le système éducatif français
Avec
la campagne de 2012 qui se met en place, on entend beaucoup, beaucoup de
statistiques sur l’éducation nationale, le salaire des profs, le niveau des
élèves… Comme par hasard, la situation n’est pas si mauvaise pour la droite, et
catastrophique pour la gauche de l’échiquier politique. Et pourtant, tous
partent des mêmes sources, et en particulier des données de l’OCDE. Alors, au
lieu de dire : qui croire ? allons voir l’information brute. LA ressource,
c’est la publication « Regards sur l’éducation 2011« , disponible sur le
net. Avant d’aller plus loin dans l’analyse de quelques exemples, juste un
rappel sur ce qu’est l’OCDE, Organisation de coopération et de développements économiques.
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